vendredi 13 juin 2008

J.C.A. Jalouse compulsive anonyme

Je suis jalouse. Jalouse du bonheur des autres. Je suis jalouse quand mes amis me disent qu'ils se sont amuser alors que moi je m'emmerdais. Je suis aussi jalouse lorsqu'un de mes amis devient ami avec un autre de mes amis et finissent par le me laisser à part. Quand je connaissais bien une personne et que maintenant c'est quelqu'un d'autre qui est proche de cet personne et qui la connait bien. Je suis jalouse quand je décroche pas d'une amitié alors que l'autre oui.

La jalousie est tellement inévitable. Un défaut plus que dérangeant. Je déteste être jalouse parce que je ne fais que me sentir mal et triste. Mais j'y peux tellement rien. Quand je suis attacher à quelqu'un j'aimerais que ce quelqu'un soit autant attacher à moi. Heureusement, je contrôle ma jalousie. Celle-ci ne reste qu'un sentiment intérieur partager avec personne d'autre que moi-même et une chance. Je m'imagine en train de pleurer parce que mon amie se tient avec une autre que moi. Ça serait franchement pathétique...

Mais bien que je sois capable de la contrôlé la jalousie est insupportable. Comment faire pour la vaincre? Des trucs?

6 commentaires:

Princesse a dit...

Je sais pas. Honêtement, l'envie c'est mon vice aussi.

La Brunette a dit...

WOW. Merci pour ton dernier commentaire sur mon blogue. Des commentaires comme ça, ça me fait tellement, mais tellement plaisir. Ça me donne juste encore plus le goût de continuer dans ce que j'aime. Merci mille fois.

Et je suis une de tes nombreuses lectrices aussi :)

Jean Bouchard a dit...

Oups! un petit nettoyage de nature linguistique serait sûrement à considérer, attendu que quelques erreurs d'orthographe viennent malheureusement rayer d'un trait déjà gros vos textes. Sur le fond, ça pourrait décoller - avec toutefois du travail, je ne vous le cacherai pas -; quant à la forme, eh bien, c'est précisément là que le moteur pétarade de-ci de-là. Vous savez, tout le monde veut écrire de nos jours; malheureusement, peu savent le faire avec efficacité. Il faut beaucoup, mais beaucoup travailler. Il faut aimer les dictionnaires et les grammaires, les consulter comme s'il s'agissait de romans. Je suis moi-même passé par ce canal. Je parle en connaissance de cause. Deux choix s'imposent: écrire (écrivailler) ou bien écrire. Ce dernier choix suppose une maîtrise de l'orthographe, de la syntaxe, de la rhétorique, un labeur de tous les instants destiné à enrichir le vocabulaire. Bref, vous le comprenez, la tâche s'avère ardue. Peu atteignent le sommet de ce mont. Donc, apprenez à aimer les différents dictionnaires et les grammaires. C'est une condition sine qua non pour espérer atteindre un point un tantinet lumineux. Mais vous savez, tout ce qui brille n'est pas nécessairement or. Sainte Thérèse de Lisieux l'avait aussi compris dès l'adolescence.
Allez, bonne chance.
Au revoir.

Une femme libre a dit...

Ent tout cas, ne devenez pas jalouse du pédant et moralisateur Jean Bouchard! Vous lui aviez demandé son avis linguistique ou il s'ennuie et fait le tour des blogues pour corriger les styles d'écriture?

Restez simple et authentique. Et lucide!

Anonyme a dit...

Je crois avoir envoyé le commentaire suivant : le harcèlement aussi sur le web, réel, se fait quand on ne souhaite pas que les gens s'expriment, je ne connais aucune explication moins simple et moins évidente que celle-là. GROS CONNARD aka Merci-de-votre-commentaire-Il -a -été- bien -enregistré -et- sera- publié- prochainement -après- validation.(http://embruns.net/)

Anonyme a dit...

Moi, je me trouve quelque chose que j'ai et que l'autre n'a pas.