mercredi 10 décembre 2008

Ça fait longtemps..Je sais

J'ai changer de blog. Je vous est tous tromper, vous blogspoter qui êtes si plus profond qu'un skyrock mais j'avais besoin de changement. Je reviendrai, j'en suis sûr plus tard un jour.

Pour me suivre (Bien que je doute qu'il y ai encore quelqu'un qui vienne voir ce blog): www.tartelette-au-miel.skyrock.com

vendredi 13 juin 2008

J.C.A. Jalouse compulsive anonyme

Je suis jalouse. Jalouse du bonheur des autres. Je suis jalouse quand mes amis me disent qu'ils se sont amuser alors que moi je m'emmerdais. Je suis aussi jalouse lorsqu'un de mes amis devient ami avec un autre de mes amis et finissent par le me laisser à part. Quand je connaissais bien une personne et que maintenant c'est quelqu'un d'autre qui est proche de cet personne et qui la connait bien. Je suis jalouse quand je décroche pas d'une amitié alors que l'autre oui.

La jalousie est tellement inévitable. Un défaut plus que dérangeant. Je déteste être jalouse parce que je ne fais que me sentir mal et triste. Mais j'y peux tellement rien. Quand je suis attacher à quelqu'un j'aimerais que ce quelqu'un soit autant attacher à moi. Heureusement, je contrôle ma jalousie. Celle-ci ne reste qu'un sentiment intérieur partager avec personne d'autre que moi-même et une chance. Je m'imagine en train de pleurer parce que mon amie se tient avec une autre que moi. Ça serait franchement pathétique...

Mais bien que je sois capable de la contrôlé la jalousie est insupportable. Comment faire pour la vaincre? Des trucs?

jeudi 12 juin 2008

Le démon est en moi !!

Mes amies m'ont eu. Bien certaines d'entre elles. Elles m'ont convertie au culte de Satan (ou presque). Elles m'ont transformée en une fille superficielle. J'ai honte de moi. J'ai toujours eu pour philosophie que peut importe la beauté d'une personne ce qui comptait c'était ses idées, sa personnalité mais maintenant (malgré moi) un autre critère c'est ajouter: l'apparence physique et j'ai totalement honte.

Un exemple troublant: Il y a peu de temps, je chattais à un gars que je n'avais jamais rencontré et qui ne possédait aucune photo de lui. Je lui ai parler comme à n'importe quel personne et je me suis rendue compte qu'il était intéressant et super gentil. Après une semaine ou deux de clavardage intense, il m'annonce qu'il a une photo de lui pour moi. Lorsque je l'ai vu, je me suis rendu compte qu'il était...laid. Et là c'est comme si ma vision de lui avait changé. Comme s'il n'avait plus d'intérêt et même si je savais clairement que ma réaction était totalement matérialiste et contraire à toute mes convictions antérieures, je n'étais pas capable de penser autrement.

Déjà que je suis contre le fait de juger une personne sur n'importe quel aspect sans vraiment la connaître, juger sur l'apparence physique est impardonnable parce que c'est quelque chose que tu ne peux pas changer. De plus je suis assez mal placée pour critiqué cet aspect car disons que je suis loin d'avoir le look ou la taille d'un top model (Pas que je sois une grosse baleine non plus. Ma franchise sur mon physique n'ai pas non plus un aveu d'obésité).

Bref j'ai besoin d'un exorciste pour sortir le démon de mon corps car il a créé un monstre. Vous avez un numéro?

mercredi 11 juin 2008

Finis la rêverie

Suis-je en train de rêver? C'est la fin de l'année et j'ai rien vu passé. Mon secondaire 3 est l'année qui à dut passé le plus vite de ma vie. Je confonds les jours, les semaines et les mois, tellement ils ont filé à la vitesse de la lumière. Je me souviens de se qui se passait à la même époque un an plus tôt et j'ai l'impression que c'était hier. Je ne peux pas croire que la vie passe si vite.

J'angoisse à mort pour les examens. Je suis pas mal moins bonne qu'avant et sa me fait chier que quelqu'un me dise que 70 c'est bon. NON, c'est nul. Le bulletin de fin d'année de l'année passé je n'avais que des 80 et 90. 70 c'est C. Je suis totalement découragée par moi-même.

Ma résolution pour l'année prochaine : Vivre au jour le jour. Pour me rendre compte de chaque jour. Cette année j'espérais toujours le futur. Le futur tout plein de promesse mystérieuse qui ne pouvait n'être mieux que ce que je vivais à l'instant même. Mais à toujours espéré j'ai oublier de vivre. Les 5 derniers mois sont super flou dans ma tête. Je ne pourrais dire si ce que j'ai fait c'est passer en Janvier ou en Mars. J'étais tellement perdue dans des rêves de jours meilleurs que j'ai oublié la réalité.

Je me promets aussi qu'appartir de maintenant je ferais exactement ce que je veux. Pas de déprime à rien faire chez nous, si je fais rien je vais en profité pour relaxer et si je peux faire quelque chose ben temps mieux. Finis le temps planter devant mon msn à attendre que quelqu'un se connecte si je veux leur parler je les appellerai. J'ai une vie maintenant.

jeudi 5 juin 2008

À Mély


Ma chère Mély... Je ne sais comment dire combien je t'aime. Dire qu'on se pognait l'année passé, j'y crois juste pas cette année. Avec toi, je peux tout faire (Passé du musée à se saouler dans mon sous-sol) parler de n'importe quoi, je sais que tu me comprendras et que même la plupart du temps, tu penseras la même chose. C'est bien de me rendre compte que je ne suis pas la seule à être fucké philosophiquement parlant.

Par ta faute j'ai peur des esprits et grâce à toi j'ai appris à sourire de nouveau. Je sais pas si tu le savais mais c'est avec toi que j'ai passé ma première journée où je me suis sentie bien après ma..rupture. Quand j'écoute Omnikrom je peux pas m'empêcher de penser à toi. Quand je marche sur Mont-Royal sa me fait tellement sourire.

Émilie t'es si différente et en même temps tu me ressembles tellement et c'est sûrement pour ça que je t'adore. Tu m'apportes plein de nouvelles choses dans ma vie, des choses dont je n'aurait jamais rit, des chose que je n'aurais jamais fait.

En fait j'ai trouver les mots parfaits pour te décrire : Mély tu as le rire le plus contagieux du monde. Je t'aime Gros Gros Gros !!!

Et Bonne Fête en passant =D

lundi 2 juin 2008

J'ai peur

Je suis exténuée. Je serais supposé dormir mais j'ai tellement peur du futur que je n'arrive pas à fermer l'œil. Mon cerveau n'arrête pas de tourbillonné.

J'ai peur de l'Australie. Je n'ai pas vraiment peur de l'avion ni de me perdre dans l'aéroport. Non en fait ce qui me fais peur c'est ma tante. C'est elle que je m'en vais voir là-bas. Oh My God. J'ai l'impression que respiré ne sera que sous condition là-bas. Tout est planifier TOUT. Mais encore là ce n'ai pas ça qui me tracasse le plus. J'ai l'impression qu'elle ne se rend pas compte qu'elle va héberger une jeune fille de 15ans avec son propre style, c'est idée et son mode de vie adolescent. J'ai peur de ne pas y être à ma place. J'ai peur de rester à gémir dans mon coin. Surtout que j'y vais seul pas de parents, de famille, d'amis rien ! Si j'avais eu au moins une personne j'aurais pu me plaindre avec elle, rire avec elle faire des choses avec elle pour m'évader de la prison dont j'ai l'impression qui m'attend. J'ai peur...

J'ai aussi peur de mon manque d'organisation. J'ai peur de ne pas être assez prête pour mes examens qui approche à si grand pas qu'ils sont déjà là. Je vais complètement rater instru et même si j'affirme m'en contre foutre, ça me fait quand même de quoi...Échouer. Je me sens complètement perdue dans mon manque d'organisation, j'ai l'impression que tout va trop vite pour moi et encore-là j'ai peur de ne pas pouvoir rattraper ma vie. Encore une fois j'ai peur.

J'ai peur de retomber en amour. J'ai peur d'encore souffrir, de vouloir mourir, que la sensation de larme redevienne une habitude en même temps...Je pense à Philippe et...je ne peux pas dire que je ne l'aime pas disons... Ça fait environ 5mois qu'on est plus ensemble et je pense toujours à lui. Ai-je un problème? Sûrement oui. Et j'en ai peur. Peur d'affronter la vérité de me rendre compte que tout est vraiment fini que lui est passé à d'autre chose, qu'il ne m'aime vraiment plus...

Finalement j'ai peur de mon passé, de mon présent et de mon avenir. Bref j'ai peur de ma vie !

jeudi 22 mai 2008

Phrase Phrasée

Voici quelque phrase phrasée, dont je suis l'humble auteur =P :

Réaliser une réalité iréellement réelle.

Penser une pensée si pensée que je ne pourrais même pas la penser.

J'ai cru croire que je croyais croire.

Aimer l'amour sans vraiment aimer l'amoureux.

Vivre mourant ou mourir vivant ?

Être un être qui ne prétend pas être ce qu'il semble être.

Avoir l'avoir sans nécessairement l'avoir.

mardi 20 mai 2008

Sentiment décalé

Se pourrait-il que deux personnes aillent les mêmes sentiments mais toujours décalé? J'ai tellement l'impression que ces ce qui se passe entre Philippe et moi. Quand je suis heureuse, il est triste et quand sa tristesse me gagne, il devient un peu plus joyeux. Qu'est-ce qu'il se passe? Ce n'ai pas toujours ainsi mais ce l'ai souvent. C'est tellement bizarre quand je pars il reviend et quand je suis là j'ai l'impression qu'il s'en va.

Pourquoi se désire de toujours vouloir avoir se qu'on a pas? D'où ça sort?

dimanche 18 mai 2008

Psychologie ou Comédie?

Je suis en secondaire 3, donc il me reste encore deux ans pour décider ma voix au CEGEP mais quand même j'y pense. Qu'est-ce que je veux faire plus tard? J'ai tellement d'option que je ne sais pas où me caser. Je sais que je peux encore changer d'idée que je n'ai pas a pressé mon choix mais ça m'obsède quand même de ne pas savoir où aller.

Parmi toute les possibilités qui s'offre à moi, j'arrête mon choix sur deux de celle-ci en particulier : La psychologie ou le théâtre. Lequel choisir entre ces deux choix...Aucun idée, c'est pourquoi je vous dresses une liste en direct de mes pour et mes contre du moment :

Le Théâtre
Pour:
Je crois avoir un certain talent sur scène
C'est ma passion
La matière où j'ai les meilleurs notes
Rien que voir une pièce me fait rêver au monde des artistes
L'occasion de ne pas avoir à suivre la routine
J'aime apprendre des textes et j'ai une mémoire phénoménale

Contre:
Il y a beaucoup de monde qui sont déjà dans le métier
Le peu de sous que ça procure
Beaucoup de travail de préparation
Travailler surtout de soir
Le peu d'emploi dans le métier

Psychologie
Pour: Je suis capable de me mettre à la place d'une personne
Je peux analyser la plupart des comportements autour de moi facilement
Je crois être de bon conseil
J'aimerais comprendre toutes les fissures de la nature humaine
Bon travail stable
Procure la sécurité financière

Contre: Tomber dans la routine
Le manque de challenge
Beaucoup d'étude
Aucune idée si je vais aimer ça
La peur de devenir normal

Et vous qu'est-ce que vous pensez que je devrais choisir?

samedi 10 mai 2008

Un soir

C'est un soir. Pas mal comme les autres. Je suis assise là devant mon portable à ne surtout pas me demander ce que je vais écrire dans cet article. Vous savez les soirs où on est vraiment inspiré mais on ne sait pas vraiment par quoi. J'ai envie d'écrire pas simplement pour occuper mon temps parce qu'à l'heure qu'il est je pourrais dormir facilement mais non je veux, je veux vous témoigner ma vie.

Je ne dis pas qu'elle mérite vraiment une attention particulière cette vie. Je veux dire, je suis unique...comme tout le monde. J'ai ma vie, j'ai mes rêves, j'ai un but...enfin ce dernier reste à définir mais je sens, je sais que je suis sur terre pour une raison et cette raison, je la trouverai un jour.

Croire que seul on ne peut pas changer le monde, c'est faux parce que chaque geste, chaque parole, chaque penser ne change pas non seulement ta vie mais celle de ton entourage et vous n'avez jamais entendu parler du fait qu'on aille un maximum de six degré de relativité entre chacun d'entre nous. Voilà ce qui prouve que chaque décision prise change un peu le monde. Alors pourquoi ne pas en profiter? Je veux dire si j'ai la chance de changer le monde à moi seule, pourquoi ne pas le faire.

Je ne sais pas ce qu'est mon but mais je sais une chose, c'est que dès que je l'aurai trouver je ferai tout pour le réaliser.
Attention Cathe arrive !

jeudi 8 mai 2008

Juno




Juno... Avouez que vous ne pouvez pas résister à cette toune. Elle est si...si...Joyeuse ! C'est ma toune... C'est mon film...C'est ma vie.

mercredi 7 mai 2008

Confusion.

Je ne suis même pas sûre que le qualificatif soit déjà assez fort pour exprimer mon état d'esprit. Confusion dis-je? Je voudrais plutôt dire que je suis totalement perdue. C'est comme si je n'avais jamais rien sus. Toute mes limites, mes barrières s'effondre, je ne crois plus à rien, je ne sais rien.

Premièrement. Qui suis-je? Qui est vraiment Catherine. J'ai déjà entendu dans une chanson: En prétendant se connaître, on se connaît toujours trop peu. J'ai toujours prétendu me connaître. Je pensais que je savais qui j'étais. Bien sûr je sais les grandes lignes comme ma date de naissance ou la couleur de mes cheveux mais les questions vraiment fondamentale je n'ai vraiment aucune idée des réponses. Les questions comme: Pourquoi je réagis comme j'agis? Pourquoi je suis bonne en tel chose mais dans une autre? Comment vraiment me décrire? Je me pose tellement de question sur moi-même, j'ai jamais de réponse je voudrais qu'on me les donnes.

Deuxièmement. Comment déterminer aimer vraiment quelqu'un? Si l'amour des romans et des films n'existe pas, alors comment savoir qu'on est en amour? Je me demande si j'aime encore Philippe. Je ne pense pas vraiment à lui, je ne suis pratiquement plus jalouse qu'il parle à d'autre filles mais dès que j'apprends qu'il ressent peut-être encore quelque chose pour moi, je ne peux m'empêcher de ressentir quelque chose. Et vice et versa. S'il me dit qu'il ne m'aime vraiment plus, je ne peux m'empêcher d'être un tantinet tristounette. Je sais pas si on peut vraiment appeler ça de l'amour... Comme je l'ai dit je suis confuse.

Je ne me connais pas assez et je crois que je suis celle qui me connaît le plus.

mercredi 30 avril 2008

Pourquoi ?

Pourquoi c'est lorsque je me sens le plus près d'une personne que je me sens abandonnée?
Pourquoi c'est lorsque je désire vraiment quelque chose que je ne peux pas l'obtenir?
Pourquoi c'est de mes plus grandes joies que naissent mes plus grandes peine?
Pourquoi avoir des préjugés sur quelqu'un que tu ne connais même pas?
Pourquoi mes mots ne se transforme pas des en actions concrètes?
Pourquoi les hommes sont si cruels les uns envers les autres?
Pourquoi certaines personnes font du mal au tour d'eux?
Pourquoi l'amour finit toujours par mener à la haine?
Pourquoi rire de ceux qui n'ont jamais rit de sois?
Pourquoi croire quand on pourrait être sûr?
Pourquoi haïr quand on pourrait aimer?


Pourquoi ?

samedi 19 avril 2008

=)

Rire, sourire, j'avais oublié comment ça faisait du bien. Impossible de ne pas rire avec lui, ces pour ça que j'ai adoré ma journée.

Merci. Merci d'avoir ramené mon sourire.

jeudi 17 avril 2008

Me dicter ma vie.

J'ai passé la plus grosse partie de ma vie à vouloir faire quelque chose. J'ai toujours été partante pour n'importe quoi. Je détestais la solitude et puis j'avais toujours peur de raté une occasion de m'amuser (ou juste pas envi qu'on ai du fun sans moi, je ne sais pas). Mais ces temps-ci je n'ai qu'une envie rester seule. Hier j'étais tellement bien seule dans ma chambre avec ma musique et mon livre. Personne me tourmentait, je ne pensais à rien mais j'existait. J'avais juste un petit break de ma vie.

J'ai tellement hâte au CEGEP. J'ai hâte d'être indépendante et autonome. J'ai hâte d'avoir des amis que j'aurai choisi et non qui m'aurais été imposé. Ce que je veux dire par là c'est ce n'ai pas que je n'aime pas mes amis actuel, il y en a que je ne remplacerait pour rien au moment, mais d'un autre côté il y en a tant auquel je ne suis pas attaché. Je ne dis pas qu'après avoir quitté le secondaire je vais toute les "flushé" non mais je sais que je ne serais pas obliger de les supporters tout les jours. Pour ce qui est de ceux que j'aime vraiment, le fait de ne pas les voir tout les jours va me faire encore plus apprécier les moments que je passerais avec eux.

Bref, j'ai hâte de pouvoir choisir totalement ma vie. J'ai aussi hâte d'étudier dans le domaine que je veux. Comme c'est partit maintenant je vais sûrement aller en science humaine avec option théâtre mais bon tout peut toujours changer.

Plus que tout j'ai hâte d'avoir mon appart. Toutes mes choses à moi au même endroit. Ma place. J'en rêve la nuit. Un petit appartement rien de luxueux juste quelque chose à moi et moi seul, dont je pourrait m'occuper comme je veux. Rentrer à l'heure que je veux, voler de mes propres aille.

Ah comme j'ai hâte de décider de ma vie.

mardi 15 avril 2008

Questionnement

J'étais dans mes pensées très philosophique quand je suis venue à me demander, pourquoi chaque chose doit tel avoir une fin ? C'est vrai pourquoi tout doit ce terminer. Quelque chose ne pourrait-il pas être infini. Qu'est-ce qui pourrait survire au temps. Qu'est qui ne mourra jamais ?

Après avoir fait le tour de la question j'en suis venue à la conclusion que chaque chose meurt pour en laisser naît d'autre. C'est évident non ?

Je ne vois pas pourquoi je n'y ai pas penser plus tôt. Tout ce qui arrive devait-il m'arriver ? Ça reste bien une question sans réponse. Serait-il prétentieux de croire que ma vie est déjà été planifiée ? De croire que quelqu'un à déjà tout décidé pour moi ? Qu'on m'observe et qu'on a pris la peine de décidée ma vie ?

Je ne sais pas si je dois croire à sa. Ça voudrait dire que je n'aurais aucun contrôle et je ne sais pas si je peux le supporter. Je ne veux pas être prise dans un cercle sans fin. Si je découvrait mon destin il serait écrit ce que j'allais le lire. Alors je ne pourrais pas le changer car il serait écrit que j'allais le changer. En même temps, vous n'aimeriez pas ça vous connaître votre avenir ?

Sans en être certaine (car la vie n'est qu'incertitude), je conclus que ma vie doit s'écrire au fur et à mesure que je la vie mais que chaque choses qui m'arriverais DEVAIT arrivée.

Finalement je suis toujours à mon point de départ. Pourquoi tout ces questions sans réponses ?

mercredi 9 avril 2008

Aujourd'hui

Ça faisait longtemps que j'avais pas été joyeuse de même. Une sacrée bonne journée. =)

lundi 7 avril 2008

Laissez couler

À l'agenda aujourd'hui : Me trouver une vie. C'est vrai je ne peux plus continuer à dépendre des autres (et de lui) pour avoir du fun ou juste pour faire quelque chose. Faut que j'apprennes (que je réapprennes parce que j'ai déjà été capable) à pouvoir faire mes choses sans compter sur personne. Il le faut pour ma survit personnel. C'est vrai ça à pas d'allure que je dépende de lui et qu'il se criss de moi. Alors voilà je vais me trouver une vie... Et j'ai déjà penser à quelques petits trucs pour rendre ma vie plus palpitante (Pour moi et peut-être pas pour vous) :
  • Raccourcir mes heures que je passes sur l'ordi (Ça c'est capitale, l'ordi n'est pas mon ami il faut que je me le rappelle)
  • Lire les nombreux livres de théâtre que j'ai et s'il le faut les apprendre par cœur et les récités devant mon miroir
  • Faire du vélo, le plus souvent possible le mieux ça serait tout les jours. Je veux me remettre en forme.
  • Ne plus penser ça vos mieux...
J'ai aucune idée comment agir avec lui alors le mieux ça serait mieux de ne pas agir. Laisse couler Cath, laisse couler...

samedi 5 avril 2008

Blasement totale

Je suis tellement blasée en se moment j'ai l'impression que même une douche froide ne me réveillerait pas. C'est comme si depuis hier soir, j'étais en mode somnolence éveiller. Je sais pas vraiment pourquoi, il rien qui me rend joyeuse. La seule chose que je voudrais, c'est qu'il se connecte et même là s'il se connectait, je serais sûrement moche.

Mais j'ai rien, je veux dire il n'y a rien qui à provoqué cette dépression soudaine mais tout d'un coup c'est comme si plus rien ne m'intéressait. Je ne suis pas triste. Je n'ai pas envie de pleurée. Je me sens relativement bien, je n'ai pas la gorge serrée, ni les yeux mouillés. Je suis juste blasée.

Je crois peut-être qu'il me manque ma dose Philippe, c'est vrai je ne lui ai pas parler depuis jeudi dernier et il n'était pas à l'école vendredi. Mmm peut-être que j'ai trouvé la source de ma déprime. Si c'est bien ça j'espère que le remède viendra vite...

vendredi 4 avril 2008

Petit moment dépressif

La joie, la joie... Je veux de la joie. Pour une fois-là maintenant j'aimerais être vraiment heureuse comme je l'ai déjà été.

Connecte-toi.

mercredi 2 avril 2008

Ma mémoire Olfactive

Philippe m'a redonné ma tuque aujourd'hui, ça devait faire un mois qu'il l'avait et (petit sourire fossette qui montre que je suis gênée) je n'ai pas arrêter de la sniffer. Elle sent tellement bon même si Gabbe pense le contraire. En fait, elle sent lui. Son odeur me rappelle tant de choses, tellement de moment, tellement d'amour. Cette odeur me rend nostalgique. Quand je sens cette odeur, je sens tout les moments ou je me suis collée à lui, et ces moments, je dois l'admettre, doivent être dans les plus beaux moments de ma vie.

Je ne sais pas si j'ai un sens de l'odorat très aiguisé ou si tout le monde vit comme moi mais l'odeur de certaines choses (pas juste de la tuque) me procure un sentiment que ma mémoire associe à l'odeur. Comme l'odeur du printemps, elle me procure un bonheur immense parce que la dernière fois que je l'ai sentie cette odeur, j'étais en amour. C'était mes débuts avec Philippe, j'étais tellement heureuse que maintenant que je sens ce mélange de neige fondante et d'asphalte mouillée me procure la même sensation que l'année passée, un doux mélange d'amour, de romance et de ce plaisir gêner qu'est notre premier amour.

L'odorat et les sentiments quelle rapport peut-il y avoir là-dedans ? C'est bien quelque chose qui me fascinera toujours, cette capacité à l'être humain de vivre ses émotions et de les rendre physique? Et vice et versa pourquoi quelque chose de physique devient quelque chose de psychologique? Pourquoi cette tuque, cette odeur me procure ce bonheur immense, ce n'ai qu'une odeur dans le fond...

lundi 31 mars 2008

Ma première journée d'école.

C'était ma toute première journée à l'école FACE. On dirait que l'odeur de l'école à changé depuis. La première journée quand tu ne la connais pas elle sent une odeur inconnue mais elle sent quelque chose. Peut-être que ça sentait mes battements de cœur qui avaient augmenté de 100 fois leur vitesse normale, peut-être que ça sentait tout ces nouveaux visages qui allait me devenir familier ou peut-être que ça sentait tout simplement l'inconnu. Le futur, j'allais passer les 5 prochaines années de ma vie plus ou moins avec tout ces visages, tout ces gens qui me semblaient n'avoir aucun point commun avec moi.

J'avais peur. Peur de ne pas tomber dans la classe de mon demi-frère qui connaissait déjà l'école. Peur aussi de ne me faire aucun nouvel ami dans cette nouvelle école. Aurais-je le cran d'aller voir quelqu'un et de lui dire : Hey veux-tu être mon amie? Je savais bien que ça ne marchait pas comme ça maintenant. Il y avait tant de nouveaux, qu'on me disait. On aurait pu faire une classe de nouveaux on était environ 30. Dire qu'à la rencontre d'inscription le directeur nous avait affirmé qu'il n'y avait qu'une place pour le secondaire 1.

Bref les secondaires 1 devaient tous se rendre à la cafétéria, je suivit mon demi-frère, Pawel, qui savait où il allait. Rendue à la café, on s'est assit sagement à une table en attendant l'arrivée des profs. Au tour de moi, des gens se revoyaient, se racontaient leur été, ils n'étaient pas aussi nerveux que moi, ils connaissaient tout le monde. Je jetai un bref regard sur la salle, il m'était facile de repérer les nouveaux, ils avaient la même expression que moi sur leur visage disant : Mais qu'est-ce que je fais ici ? J'en repérai une en particulier, elle était adossée sur le mur du fond et regardait avec un air gêné les gens tous excités de se revoir. Plus tard, j'appris que cette fille s'appelait Émilie Hamel et qu'elle était plutôt sympathique. À ma table vint s'assirent deux personnes. La première s'appelait Eve-Marie, elle était nouvelle et elle connaissait l'amie à ma demie-sœur (La soeur de Pawel, Tania), comme nous nous étions saluées elle vint s'asseoir avec nous. La deuxième s'appelait Bewolf, elle avait un accent anglais et nous raconta son histoire; elle arrivait du côté anglais ou je ne sais pas trop (Je crois que j'étais trop nerveuse pour comprendre quoi que ce soit), bref elle aussi ne savait pas où s'assoir et s'assit à notre table.

Puis, l'heure avait sonnée, tout le monde s'est tue, les profs avaient réclamés le silence et allaient nous annoncer qui était dans quelle classe. Mon coeur battait si fort que je suis sûre que Pawel arrivait à l'entendre. "Oh mon Dieu faites que je sois dans la classe de Pawel !" c'est ce que je me répétait silencieusement. Puis on nomma mon nom. Je me levai et attendi, il n'était pas trop tard pour que Pawel soit nommé, la liste n'était pas achevée. Rendu à Ziffrin, j'ai du me faire une raison, me voilà seule dans la classe de 7f2...

dimanche 30 mars 2008

Une amitié qui vient de loin


Le 1er Juillet 2005. Cela faisait maintenant trois ans que je vivais à Joliette. J'y avait rencontré des amis super; Vicky, Pier-Luc, Émilie, Stéphanie, Gabrielle, Manue, Roxanne, Marion, Mélissa et bien d'autres. J'avais vécu de tels moments avec tous ces gens que dans ma tête, il était impensable que je m'éloigne d'eux. Joliette-Montréal ce n'était pas si loin, et il y avait toujours le téléphone et le chatte. Mais malgré ces promesses qu'on s'était faites et ces amitié qui me semblaient indestructibles, nous nous sommes éloignés, pratiquement oubliés.

Aujourd'hui en 2008, il ne me reste plus qu'un seul contact Joliettain, c'est Vicky. Pourquoi est-ce elle qui a survécu à la distance et au manque de communication ? Je n'en sais rien, c'est peut-être parce qu'au fond (tout au fond de moi) je savais bien que c'était elle qui comptait le plus dans mon cœur (Pas que les autres comptaient pas).

Vicky comptait le plus parce qu'elle était tellement différente de moi et je dois avouer que j'étais fière de l'avoir comme amie. Pour être totalement honnête, je l'enviais. Elle était belle, gentille, populaire et avait beaucoup de facilité à ce faire des amis car tous l'étaient. Bref, je ne sais pas pourquoi Vicky est devenue amie avec moi mais j'étais bien contente de l'être.
On s'est rencontrée au poteau de ballon-coup-de-poing, enfin une adversaire à ma mesure. Je crois que c'est là que notre amitié a débuté mais j'en ai perdu de grand bout par la suite (Je dois dire que cette histoire date d'il y a quatre ans. Parfois j'ai quelques flashs comme là, si je creuse je me rappelle la première fois que je suis allée chez elle, on avait dansé sur un remix de Britney Spears, c'était marrant. Même si je ne me souviens pas de tout, je sais que j'ai adoré chaques moments que je passais avec elle. Je ne me souviens pas que nous ayons eu aucune chicane.

Puis le premier juillet est arrivée, j'ai déménagé à Montréal, ma ville natale. J'ai dit au revoir à Vicky, c'était sa première journée avec ses broches et elle parlait en zozotant. L'adieu fut bref, les boites étaient déjà "packtées" et on m'attendait pour partir. Je repris mon vélo noir et mauve et passa pour la dernière fois sur la rue Précieux-Sang gardant en tête la promesse de garder contact.

Les mois et les années passèrent et comme tous les autres Vicky était devenue, un vague souvenir de mon passé Joliettain. Je m'étais fait de nouveaux amis et c'était pareil pour elle. On s'est éloignée sans jamais complètement ce perdre de vu, je n'avais pas oublié notre promesse. Un beau jour, il n'y a pas très longtemps, mais je ne saurais dire quand, on a reprit vraiment contact. Je ne voulais pas la perdre et j'allais tout faire pour pouvoir la garder. J'ai décidé de lui proposer d'aller passer quelque jour chez elle durant l'été.

C'était de belles retrouvailles. Mon amie m'avait manquée. Nous avions toutes les deux changées mais dans de le même sens. J'avais beaucoup plus de confiance en moi qu'avant et elle aussi avait l'air beaucoup plus confiante. On a beaucoup parlé. Elle me raconta ces anecdotes d'été et je lui racontai mon histoire d'amour avec Philippe. Une chose qui m'avait manquer de Vick-Vick s'était le fait que je pouvais vraiment être moi-même, sans me sentir jugée et en sentant qu'elle pensait la même chose de son côté. Elle était franche et honnête avec moi, comme si on avaient toujours été amies, comme si la distance n'avait rien changée, comme si on se parlaient encore tous les jours. En plus de tout ça, elle me comprenait et me réconfortait dans mon extrême peur que Philippe est rencontré une autre fille à son camp. Bref, c'est pour ça que j'ai aimé mes deux dodos chez elle.

Je crois que depuis ça on a reprit vraiment contact. Je veux dire c'est vrai on ne se voit pas tout les jours, on ne se parle même pas au téléphone mais je crois savoir où elle en est dans sa vie et je crois qu'elle sait où j'en suis dans la mienne. Je serai toujours-là pour l'écouter et la comprendre et je crois que c'est réciproque. C'est l'important, non?

Une vraie amie, c'est sacrée et j'espère pouvoir la garder encore un bon bout de temps.

Je t'aime sincèrement Vick-Vick =)

mercredi 26 mars 2008

La curiosité

Quand j'ai le coeur fragile je sais ce que je dois faire ou plutôt ce que je ne dois pas faire. Pourtant, je le fais quand même. Comme si j'étais obligée de m'infliger cette douleur uniquement pour satisfaire cette envie presque maladive qu'est ma curiosité.

Je veux toujours tout savoir. Non c'est faux pas tout, mais tout ce que je ne peux pas savoir. Si ça ne me touche pas vraiment j'avoue que je m'en fou un peu mais dès qu'il y a quelque chose qui se passe je veux le savoir. Je veux connaître les "insides" même si quand on me les racontes je ne les trouves pas drôles. À chaque fois que j'entends que quelqu'un ne va pas bien je veux toujours savoir ce qu'il a. Un potin ? Je veux absolument être au courant.

Dès que je le sais, je suis satisfaite mais je ne peux pas dire que j'ai une joie IMMENSE. Par contre, si on refuse de répondre à ma question, c'est là que je deviens folle. Autant je suis incapable de dire non autant je désespère qu'on me le dise (Seulement dans le cas précis d'une question, si c'était non pour un service ça ne me dérangerait pas trop ou beaucoup moins). Si on ne veut pas satisfaire ma curiosité un question aussi insipide qu'inutile comme "Comment vas-tu aujourd'hui ?" devient quelque chose d'une importance capitale. J'irais jusqu'à fouiller les e-mails de la personne pour savoir ce qu'il ce passe.

Je crois que ce n'est pas normal... Devrais-je consulter un psy ?

dimanche 23 mars 2008

Des confidances finalement avouées

J'ai l'impression qu'un poids c'est enlever de mon cœur. J'ai fait la paix avec Caro. Cette fille du camp à Philippe. Cette fille que je détestait de tout mon cœur. Cette fille sur qui j'avais fait porter tout le poids de mon chagrin ces derniers mois. J'ai réussit à comprendre que ce n'était pas elle qui avait tout gâché entre moi et Philippe, c'était nous. Caro n'avait été que la goutte d'eau qui fit déborder le vase. C'est en lui disant tout ce que je viens d'écrire que je me le suis fait comprendre à moi-même.

Je me sens un peu plus libre, un peu plus heureuse, je crois que j'ai finit par accepter ce que je vis. Bien sûre, je ne suis pas totalement guéris et peut-être ne le serais-je jamais, peut-être l'aimerais-je toujours un peu. Toujours est-il que l'acceptation est la dernière étape d'un deuil et je crois l'avoir fait.

Philippe. Oh mon beau Philippe, tu m'auras fait vivre tellement de première fois, tellement de moment merveilleux. Je n'aurai jamais été aussi proche de quelqu'un que de toi. Peut-être est-ce maintenant le temps que nous passions à d'autre chose. Je t'aime et je t'aimerai toujours, je tiens mes promesses. Un jour, dans dix ans (ou moins qui sait) on se retrouvera peut-être. Inquiète-toi pas je serais toujours une "Drama Queen", TA D.Q. Je te souhaite de trouver l'amour et elle sera bien chanceuse de t'avoir. Tu es un gars super. Je ne t'oublierai jamais et je souhaite que tu fasses de même.

Pour ma part je vais aller de l'avant et je n'ai aucune idée de ce qui m'attend.

samedi 22 mars 2008

Rien à perdre

Je n'ai plus rien à perdre. Est-ce que ça veut dire que je n'ai rien ? Non. J'ai des amis et une famille mais j'ai l'impression que je pourrais faire n'importe quoi. Ce que j'ai, je ne le perdrais pas, ce que j'ai perdu, je n'ai rien à perdre à le retrouver et ce que je n'ai pas, eh bien je ne l'ai pas encore.

La gêne, c'est l'obstacle. La peur du ridicule, cette idée qui nous vient qu'on pourrait avoir encore pire que maintenant. Mais bon pour chaque chose de bien, il y a un obstacle à franchir non ? Je veux dire je ne peux pas avoir de la crème glacée à la pistache si je n'ai pas d'argent (Oui, Oui, j'ai écrit "de la crème glacée à la pistache" plutôt qu'un "cornet de crème glacée à la pistache". Nuance ici essentiel car je n'aime pas les cornets, ça goûte le carton... vieux souvenir d'enfance où j'ai manger un cornet de crème glacée dans un vieux cornet qui traînait dans l'armoire depuis tellement longtemps qu'il goûtait la même chose que la boîte. Vous avez aussi remarqué que j'ai bien écrit "pistache" et non un autre exemple plus commun comme chocolat par exemple. Je ne veux pas dire que je n'aime pas le chocolat (Non Chocolat, je t'aime, ne t'inquiète pas c'est juste que tu es trop commun pour moi) mais je préfère la pistache (Désolé chocolat). Revenons à nos moutons...). Et l'argent que je vais avoir acquis pour ma glace et bien je vais avoir travaillé dure pour l'avoir (Comme en suppliant un de mes parents à genoux.). Dans cette exemple (oh combien trop long j'en convient), mon obstacle à franchir était l'argent dans le cas de ma vie en général pour pouvoir acquérir ce que je veux, eh bien, c'est la gêne mes amis.

En général, je ne me considère pas vraiment comme une personne relativement gênée mais comme tout le monde, il m'arrive de la vivre. Surtout avec des personnes que je ne connaît pas mais que je croise souvent. Je veux dire je ne suis pas gênée avec les gens du métro que je ne reverrai probablement jamais mais disons que je ne suis pas la première à aborder la conversation avec quelqu'un que je trouve sympathique. J'ai peur du non. Même si au fond de moi je me dis que ça change pas grand chose. Et que ce n'ai pas parce qu'elle ne t'aime pas mais parce qu'elle ne peut pas, mais pour moi ça, sa ne marche pas.

Mais bon maintenant je sens que c'est différent. J'ai moins peur de perdre la face ne me demander pas pourquoi. Je ne le sais pas. Mais c'est comme ça et j'espère que ça va continuer comme ça. =)

dimanche 16 mars 2008

Moi, Je t'aimerai

J'ai trouvé les mots
pour te dire que je t'aime cachés au creux de tes reins
Qu'importe maintenant
si oui,
si non
si tu m'aimes,car
Moi je sourirai quand même

Qu'importe la fréquence
De ces gestes maudits
De ces coups de langues éprits
Qu'importe l'arrogance
De cet amour chéri
J'irai peut-être au paradis

J'ai trouvé les mots
Pour te dire que je t'aime
Cachés au creux de tes reins
Qu'importe pour moi
Si oui,
Si non,
Si tu m'aimes, car
Moi je sourirai quand même
Moi je sourirai quand même
Moi je sourirai quand même

J'ai trouvé les mots
Pour te dire que je t'aime
Cachés au creux de tes reins
J'ai tout aspiré tout
Jusqu'à en perdre haleine
Peut-être les dirai-je demain
Peut-être sous l'effet
D'une trop grande arrogance
D'un coeur un peu trop sûr de lui
Je dirai ces mots
Au creux de ton oreille
Même si je risque la potence

J'ai trouvé les mots
Pour te dire que je t'aime Cachés au creux de tes reins Qu'importe pour moi
Si oui
Si non,
Si tu m'aimes car
Moi je t'aimerai quand même

Penser au respir de ce que l'on retient
De peur de devancer la fin
Je ne veux plus les retenir Ces mots
Qui ne demandent qu'à sortir
Je veux coller
Mon amour contre le tien

J'ai trouvé les mots pour te dire que je t'aime
Cachés au creux de tes reins
Qu'importe pour moi
Si oui,
Si non,
Si tu m'aimes car
Moi je t'aimerai quand même
Moi je t'aimerai quand même
Moi je t'aimerai quand même

Pierre Lapointe - Moi Je t'aimerai

mardi 11 mars 2008

L'Amitié

Il fallait, il fallait vraiment que j'écrive un article sur l'amitié parce que dans ma vie je crois que c'est la chose la plus importante que j'ai (En même temps que la famille évidemment).

Ce soir j'avais besoin d'une amie, juste de lui parler pour me changer les idées (Parce que vous vous en doutez sûrement Philippe avait encore fait des ravages dans mon cœur) et je l'ai appelée. On ne s'est rien dit de spéciale mais juste de parler à une amie ça m'a réconfortée.

Être une amie c'est tellement rien de spécial mais c'est tellement essentiel d'en avoir une. Pour être une amie tu n'as qu'à écouter et parler. Être là quand il le faut et savoir montrer à l'autre que tu tiens à elle. Rien de plus. Et je suis tellement contente d'avoir des amis. Même s'il y en a que je bitch (et qui me bitch sûrement aussi), même s'il y en a qui me déçoivent et même s'il y en a que je n'aime pas trop, trop elles sont toutes indispensables. J'ai besoin de chacune d'elles et j'essaye d'être toujours-là pour elles.

C'est tout l'amitié ce n'ai que ça en fait, un besoin égoïste et humain d'avoir quelqu'un sur qui compter. Et merci, merci d'être là pour moi.

Gabbe, Mély, Florence, Élyse, Choco, Bibo, Marie, Flot, MagGie, Hamya, Charlotte, Dd.

(J'ai choisi la couleur qui je trouve vous va le mieux =P)
Je vous aime vous avez pas idée à quel point.

dimanche 9 mars 2008

Les mots

On dirait que j'en ai jamais assez, des mots. Écrire une phrase toute simple et en faire un article, j'en suis incapable. Il y a toujours un mot qui peut continuer, préciser ma penser, mon idée. Comme cette article j'aurais pu écrire tout simplement la première phrases. C'est elle la plus importante, c'est elle qui exprime tout le sens de cet article. Mais non, il faut que je précise.

Il y a toujours un mot, qui manque dans ce que je veux dire. Pourtant j'aime les articles simple, d'une seule phrase qui veut tout dire. Des fois même ça m'ennuie de lire un article trop long. Je décroche avant la fin. Mais j'aime, j'aime écrire le font de ma penser, l'épuiser jusqu'au dernier mot qui va dans ce sens. Je peux écrire des paragraphes des romans à propos du même sujet, en autant qu'il m'intéresse.

Les mots c'est tout. On est d'accord que les idées sont essentielles à la vie humaine. C'est ce qui nous caractérise des animaux. Sans les idées rien ne serait. Eh bien ces idées elles s'expriment au commencement en pensée et des pensées sont des mots de notre esprits. Déjà sans mots ils nous seraient impossible de formuler nos idées mais ce n'ai pas tout. Maintenant si on imagine qu'on aille pu penser sans mots, pour pouvoir créer cette idées il faut la communiquer et sans les mots il devient beaucoup plus difficile de communiquer. Bien sûr il y a les gestes mais les gestes sont restreint tandis que la parole est infini. Tout peut être dit en mot. Et les mots on les comprends c'est bien plus clair que des gestes.

Tout cela pour dire que les mots nous caractérises, nous humain, il ne faut pas en avoir peur. Exprimez-vous, c'est la plus belles choses que vous pouvez faire.

samedi 8 mars 2008

Vivre ou rêver

Finalement ma vie se sépare en deux partie : la partie où je vis et la partie où je rêve.
Quand je ne vis pas je rêve et quand je ne rêve pas je vis.
Quand je rêve j'aimerais vivre et quand je vis j'aimerais rêver.
Vivre est unique et rêver est magique.
Impossible de vivre le rêve mais Inévitable de rêver sa vie.
Dans mes rêves je vis dans ma vie je rêve.
Finalement ma vie n'est qu'un : C'est le rêve d'une vie réelle.

Vivre avec ma vie.

Fini les lamentations. Ma vie n'est peut-être pas celle que je voudrais mais j'apprends à vivre avec. Je me dis que je suis beaucoup moins misérable qu'une grande majorité de monde. Tout le monde à ces problèmes et je ne les ignores pas mais maintenant je me dis qu'il est temps de passé à d'autre chose. Je ne suis pas que tristesse et chagrin. Je veux qu'on me voit comme quelqu'un de joyeux, d'attentif, de drôle, de bizarre, de sociable et comme une personne heureuse. Dans le fond c'est vrai ce que mon ami disait, Son nic s'était : Souriez même quand vous êtes triste, les gens sont bien plus beaux souriants. Ils sont non seulement plus beau mais ils sont plus heureux. Aujourd'hui même s'il neige et que je n'ai pas de chum, je suis souriante.




Vivre au présent

Le présent. Vivre au présent. Ça me semble tellement irréel. Comment vivre sans penser (parce que penser mène toujours aux souvenirs ou au fantaisie du futur) et juste voir ce qu'on est en train de faire maintenant. Non c'est vrai dans la vie il faut penser. C'est vrai impossible de vivre sans penser, le cerveau est toujours en fonction et il sert à ça le cerveau (entre autre): penser.

Ma grand-mère aujourd'hui m'a parler de la méditation. "Pour me concentrer sur le présent, ça prend des années de pratiques." m'a-t-elle dit. Mais de toute façon ne pas penser, pour moi c'est tellement difficile. Je fais parti d'une majorité de gens qui veuillent toujours plus. Qui vive au passé et au futur mais jamais (ou rarement) au présent. Pourtant j'aimerais mais comment, je n'ai pas le temps et je n'ai pas le goût de le prendre pour respiré. J'ai tellement de misère à médité et à oublier tout ce qu'il ce passe. Ma tête est en constant travail, normal que j'ai de la misère à m'endormir, je pense tout le temps. Je fais des plans ou je revis ma journée d'aujourd'hui. J'ai surtout hâte de me réveiller le lendemain pour continuer à vivre.

Je n'ai peut-être pas la métode pour vivre au présent mais es-ce si grave, si je suis heureuse comme ça.

Tanné ? Moi aussi !

Bon fini les articles sur Philippe. Je suis tannée, vous devez être tanné et tout le monde est tanné. C'est pathétique et j'ai d'autre chose dans ma vie que lui et l'amour.

Alors maintenant voici l'arrivée, après deux mois d'hibernation, de notre Catherine à l'imagination pleine de fantaisie et aux questions qui resterons sûrement toujours sans réponse.

Je me présente : Catherine la philosophe, ésotérique, mystique et surtout heureuse.

Alors voilà bonne suite.

mercredi 5 mars 2008

Être heureuse

J'aimerais, je pourrais, je devrais mais on dirait que ça m'est impossible. Pourquoi? Pourquoi je ne suis pas heureuse ? J'aimerais tellement pourtant et j'en suis incapable. La vie est tellement mieu lorsqu'on est heureux non? Bien que je le saches, j'ai quand même envi de pleurer. C'est sûr je le sais que je m'amuse bien plus lorsque je souris, j'essaye mais je suis pas capable. Je voudrais tellement avoir un vrai rire en se moment. Parce que, vous savez, je ne suis pas toujours triste. Je suis beaucoup moins triste que dans certains autre de mes articles mais juste en ce moment à 18h12 le 5 mars 2008, je suis triste.

En fait je sais pourquoi. Je sais pourquoi je suis triste. Mais je ne devrais pas. Devrais-je ? Il y a des fois où je me demandes si je suis trop dramatique et quand je ne le suis pas dutout je me demandes si je suis trop inconciente. Comment avoir un juste milieu ? Bof de tout façon le juste milieu c'est vraiment quelque chose dont je suis incapable. Je suis la fille la plus dramatique que je connaisse. Je m'énerve moi-même... C'est rendu grave quand tu t'énerves toi-même non?

Bref, si je ne m'aime pas pourquoi m'aime-t-on? J'aimerais qu'on me le dise. J'aimerais qu'il me rassure comme j'ai toujours voulu. Peut-être un jour, je redeviendrai heureuse. Aaaaaaaaaaaaah pourquoi je depends de lui pour être heureuse ? L'oublier, l'oublier c'est ça qu'il faut. Mais merde je veux l'oublier et je veux toujours lui parler. Parce que je l'aime encore et qu'il me fait croire qu'il y a encore une ouverture, une chance. Ça pourrait pas être clair ?

Et là, il va peut-être se frustrer en voyant cette article (s'il le voit). Ah pis je veux tellement pas. Je veux pas qu'il voit ça s'il est pour réagir de même. Je voudrais qu'il vienne me voir et qu'il me dise d'arrêter de pleurer, qu'il m'écoute, qu'il me console, qu'il me donne de l'espoir, qu'il me dise que je ne suis pas seule, qu'il me fasse croire (Juste croire) que ça va s'arranger et tout ça juste pour que je saches qu'il n'y pas que moi qui veut, qu'il y a aussi lui.

Et voilà la question ultime : Es-ce que lui il veut ?

vendredi 29 février 2008

Je l'emmerde

Pour une fois je ne parle pas de Philippe.

Je parle d'un autre gars.
Un gars que j'emmerde.
Un gars qui croit qu'il détient la vérité absolue.
Un gars qui croit que ce qu'il croit est la seule chose digne d'intérêt.
Un gars qui est incapable d'accepter une autre vision que la sienne.
Un gars qui pose sans cesse des commentaires sur les autres, mais s'énerve si quelqu'un en pose un sur lui.
Un gars qui est autant incapable de me supporter que je le supporte.
Un gars qui ne peut pas s'empêcher de me dire ta gueule à la moindre chose qui l'énerve de moi.
Un gars qui se croit bien gentil mais qui n'est aucunement capable de passer une journée sans dire un commentaire sarcastique sur quelqu'un.
Un gars qui n'accepte pas que je réplique après lui.
Un gars qui croit que la moindre parole qui sort de ma bouche est destinée à me rendre intéressante.
Un gars à qui je souhaite ne plus accorder la parole.

Bref un gars qui voit la vie d'une manière bien différente de la mienne. Ce qui nous rends socialement incompatible. Je m'excuse mais il fallait que je l'écrive sur mon blog, il fallait que je me défoule. Peut-être un jour je changerai d'idée sur ce gars mais juste pour l'instant je l'emmerde grave !!

Les Gars

Je ris de ce stéréotype : "Les filles sont compliquées", parce que les gars le sont autant. Ils sont extrêmement compliqués. Cette citation devient pléonasme car si les gars et les filles sont compliqués (Parce que, non, je ne ni pas la complexité féminine) tout le monde est compliqué. Le stéréotype devient nul.

On dit qu'un gars ce n'ai pas compliqué parce que ça l'utilise les points au lieu des mots. FAUX. c'est totalement faux. D'où viens ce stéréotype ? Sûrement pas de notre époque. À l'époque où je vis le gars bitch autant que les filles. Je les entends dire : " Hey Cathe est trop snitch... Elle talkshit contre moi...". Si c'est pas de bitchage ça.

On dit qu'un gars ça ne veut pas parler de ce qu'il ressent, qu'il aime mieux garder ça pour lui. VRAI. Mais cela les rends encore plus complexe, comment les comprendre sans savoir ce qu'il pense vraiment. Et la grande question qu'une fille se pose : Pourquoi ils ne veuillent pas en parler?", ils répondront sûrement que c'est juste comme ça. Si c'est pas de la complexité ça !

Une fille quand elle aime quelqu'un, c'est clair et elle l'affiche. Un gars même s'il aime quelqu'un c'est rare qu'il l'affiche autant. Bien sûre il t'aime mais, il ne le montre pas autant. Bordel si tu aimes tu aimes. Mais un gars, non. Là, vous dites encore qu'ils sont simple les gars.

Vous connaissez l'expression "Qui aime bien, châtie bien"? Eh bien cette expression s'applique autant au gars qu'au fille. Et cette expression est le sens même de la complexité amoureuse parce que si tu aimes, normalement, tu ne fais pas le contraire de ce que tu penses.

L'humain est si complexe surtout en terme d'amour mais, n'aller pas me dire que seul les filles sont compliquées. En faite vous je sais pas, mais moi je gars je les comprends pas...

jeudi 28 février 2008

J'aimerais tant...

Il y a tant de chose que j'aimerais tant :

J'aimerais pouvoir me lever le matin sans jamais être fatiguée.
J'aimerais pouvoir manger à volonté sans jamais prendre une livre.
J'aimerais pouvoir faire de vélo à l'année longue.
J'aimerais que l'hiver n'est jamais existé.
J'aimerais faire du skate.
J'aimerais être bonne à un sport.
J'aimerais tout comprendre facilement.

J'aimerais n'avoir aucune onze de gènes en moi.
J'aimerais pouvoir savoir ce que les gens penses vraiment de moi.
J'aimerais ne jamais être jugée.
J'aimerais être intéressante au point qu'on m'envie.
J'aimerais qu'on me dises qu'on apprécie ce que je fais.
J'aimerais qu'on me laisse des commentaires sur mon blog.
J'aimerais qu'il vienne sur mon blog.
J'aimerais être aimée.

J'aimerais être avec lui en permanence
J'aimerais être avec lui ne serait-ce qu'une demie seconde.
J'aimerais pouvoir l'embrasser une dernière fois.
J'aimerais le sentir encore un fois.
J'aimerais qu'il m'aime comme il m'a déjà aimé

J'aimerais vivre a 100 miles à l'heure.
J'aimerais faire le party.
J'aimerais pouvoir penser que tout est possible.
J'aimerais vivre encore dans un monde d'illusion
J'aimerais changer le monde.

J'aimerais savoir qui je suis.
J'aimerais savoir d'où je viens.
J'aimerais savoir pourquoi je suis ici.
J'aimerais connaître mon destin.
J'aimerais me comprendre et me connaître
J'aimerais être ce que je voudrais être.

J'aimerais (...) Oh ça j'aimerais tellement.

mardi 26 février 2008

J'ai hâte au passé

Au passé :
Aimer était présent.
Être était bonheur.
Avoir était acquis.
Pouvoir était possible.
Finir ne l'était pas.
Vivre était voulu.
Battre était obligatoire.
Penser était plaisir.
Rêver l'était aussi.
Oublier était inutile
Et Pleurer ni était jamais.

Au présent:
Aimer est absent.
Être est souffrance.
Avoir est perdu.
Pouvoir est impossible.
Finir l'est déjà.
Vivre est obligatoire.
Battre est voulu.
Penser est douleur.
Rêver l'est aussi.
Oublier est impossible.
Et Pleurer y est chaque soir.

lundi 25 février 2008

Et si j'écrivais quelque chose de gentil

Hier il m'a appelé. Je sais que je suis conne, je le sais mais c'est normal que je l'aime encore ? Je crois bien que oui. Pourquoi ? Parce qu'il est tellement gentil. C'est peut-être pas le gars parfait, mais je ne suis pas parfaite non plus... Oh très loin de là. Et lui il m'accepte comme je suis. On dirait en tout cas. Comme je l'ai dis dans un article précédent il n'y a jamais rien de sûr, il y a toujours un doute, mais je crois quand même que je peux le croire. Il est tout sauf un mauvais gars. Et même s'il m'énerve dans mes moments d'impatience extrême causés par la fatigue (comme aujourd'hui), je suis tout de même capable d'écrire quelque chose de gentil sur lui. Ouais, je suis capable... Peut-être parce l'aime ?

Honnêtement, je crois qu'il est impossible d'arrêter d'aimer, on peut passer à d'autre chose mais impossible d'éteindre quelque chose même si ce quelque chose n'es que passé, on ne l'oublie jamais. Pour mon cas mon quelque chose est passé mais j'ai l'impression qu'il pourrait toujours être présent.

Même si ce soir, il va me dire que j'ai été bête avec lui, je sais qu'il va finir par me pardonner. S'il lis ça qu'il me pardonne d'être bête mais il n'y a rien contre lui j'aurais tuer n'importe qui. Ah la fatigue met mon seille de tolérance à zéro. C'est pas pour rien que j'ai manqué l'après-midi, c'était mieux pour le reste de la société, je les aurais tous frappés. Valait mieux que je vois personne.

Toute cette article pour te dire qu'il n'y a pas que des trucs méchants sur toi sur mon blog et que la réponse d'y hier philippe si tu lis ça et bien c'était Oui =P (Pour les autres lecteurs : Non ce n'ai pas ce que vous pensez) !

dimanche 24 février 2008

Tout le monde

Est-ce que ça vous est déjà arrivé de vous rendre compte qu'il y a plein de vie autour de vous ? Je m'explique : L'autre jour j'étais sur le blog d'une amie, et son message était posté en même temps que je fêtais ma fête. C'est comme si je me suis rendue compte à ce moment-là que tout le monde vis en même temps que moi. Je veux dire pendant que moi je suis en train d'écrire ce message des milliards d'autres actions sont faites en même temps.

Aussi, tout les jours, je croise du monde sur la rue, dans le métro, à l'école, n'importe où et je ne leur prête pas le moins du monde attention, leurs visages s'effacent de ma mémoire comme le mien s'effacera de la leur. Mais ces gens-là, ces gens que je ne connais pas, qui sont des no body pour moi, peut-être ont-ils une vie passionnante. En tout cas c'est sûr qu'ils ont une vie et il la vive en même temps que moi je suis en train d'écrire sur mon blog.

C'est un peu comme si je me rendais compte que je ne suis pas seule au monde et que les autres ils se criss pas mal de ma vie. En faite non, ils ne s'en foutent pas, ils ne font que pas savoir et ne pas ce poser la question. Mais de toute façon... Qu'est-ce que ça change ? Je vais continuer à vivre sans savoir leur vie et vice et verça.

Mais j'y pense peut-être qu'on c'est déjà croisé dans le métro vous et moi!

samedi 23 février 2008

Le besoin d'être rassurée

Est-ce que tout le monde l'a ? Ce besoin d'importance qui me rend carrément dépressive quelque fois. Je veux dire peut-être que je suis pire que les autres. Peut-être que les autres ça ne leur dérangent pas de se voir un peu mis de côté ou complètement à pars. Peut-être que les autres ça ne leur dérangent pas d'être seul. Moi, ça ne fais pas que me déranger, ça m'obsède.

Je ne pourrais pas vivre seule. J'ai besoin d'être remarquée, j'ai besoin d'être appréciée. J'ai besoin de me sentir importante au moins pour quelqu'un et j'ai besoin qu'on me dise que je suis irremplaçable. C'est un peu pour ça que j'aime le théâtre parce que lorsque je suis sur scène j'ai l'impression qu'on m'écoute enfin et qu'on apprécie ce que je fais, que je suis utile que je sers à quelque chose. Mais le mieux c'est lorsqu'on me dit que je suis bonne. Qu'on me dise ça, ça me comble de bonheur. Juste de voir que quelqu'un a aimé ce que j'ai fait. C'est magique ! Vous ne savez pas à quel point j'adore savoir qu'on aime ce que je fais.

Au moins je l'avoue, j'adore avoir des compliments !

mercredi 20 février 2008

Et Merde !

J'haïe ne pas être en contrôle de la situation. Comme là, avec Philippe, je ne suis pas en contrôle de la situation. C'est comme si c'était lui qui dirigeait, il aurait le pouvoir de partir et revenir avec moi comme bon lui semble. C'est ce qu'il a l'impression en tout cas, et je ne fais rien pour prouver le contraire. Pendant un certain temps j'ai "rampé à ces genoux", le suppliant de revenir (Pathétique, je sais). Mais maintenant il a l'impression que ce n'est que lui qui contrôle que je vais être prête à vivre chacune de ses décisions que je vais vivre comme bon lui semble. NO WAY ! J'aimerais me trouver un gars juste pour lui montrer que JE contrôle ma vie.

Comme tout à l'heure il me dit : " Hey Cathe, pense pas que je vais revenir avec toi, si tu continues à m'ignorer comme ça". Et il ose, il OSE me dire ça à moi. Je l'ignore pas tabarnak. S'il y a bien quelqu'un qui ignore l'autre c'est bien lui. Oh mon dieu, l'ignorer MOI. Et en plus quand même bien que je l'ignore, SO WHAT ! On sort plus ensemble hein ? Et qu'est-ce qui le fait croire que MOI je veux retourner avec ? Peut-être que ça me tente pas à moi non plus.

Pfff S'il veut me ravoir il faudrait qu'il me mérite tiens ! Il faudra qu'il me prouve qu'il m'aime. Je ne ferai pas tout les efforts, pas question !

En passant tout ce que je viens d'écrire ici... Je ne lui ai pas dis. Je voudrais tellement qu'il le sache et en même temps j'ai pas la force de vivre encore une autre chicane. Alors sûrement que ce que je pense... Il ne le saura jamais.

mardi 19 février 2008

Différence

Je suis en train de me demander s'il est vraiment possible d'être différent. On dirait qu'on agit tous de la même façon mais chacun à différentes époques de notre vie. Tout le monde vit l'amour, la peine d'amour. Tout le monde vit le départ d'un ami. Tout le monde vit sa première brosse. Tout le monde réagit pareil dans telle ou telle situation. Et surtout tout le monde finit par mourir.

Bien sûre tout le monde ne vit pas totalement la même vie mais tout le monde vie une vie semblable à d'autre. Impossible d'être le seul à avoir fait ou dit quelque chose. Impossible de se démarquer, on dirait. On est peut-être programmé pour vivre certaines choses. Peut-être que c'est obligatoire, impossible de passé par-dessus.

Est-ce qu'on est limité à vivre un certain nombre de chose comme les Sims* mais plus évolué? C'est vrai dans un sens, la vie c'est les Sims en plus évoluée. Dans le fond c'est vrai il m'est impossible de voler. Je peux bien essayer, je ne serai pas capable. J'ai une limite d'action comme un Sims. Aaaah Peut-être ne sommes-nous pas tous une sorte de robot ? Peut-être que nous n'existons pas vraiment. J'arrive à peine à croire ce que je dis mais c'est quand même une situation envisageable quand on y pense.

Bon je crois que je devrais aller me coucher, je commence à délirer.

* Les Sims est un jeux de simulation virtuel où l'on crée une ou plusieurs personne et qu'on le contrôle. Un peu comme si l'on était Dieu.

vendredi 15 février 2008

La musique, c'est ma vie !

J'ai souvent entendu des gens dirent : "Moi la musique c'est ma vie." Évidement la plupart de ceux-ci parlaient au sens figuré, mais moi je parles au sens propre : la musique changes ma vie, elle l'influence, elle la contrôle. Je suis sûre que je ne suis pas la seule à vivre ce phénomène. Pour moi la musique joue un rôle déterminant dans mes humeurs, mon look et même mes amis.

Plus j'y pense plus je m'aperçois que ce phénomène s'applique à la plupart des gens. Mon premier exemple c'est les humeurs. Avouez que lorsque vous écoutez une chanson triste vous n'allez pas sautez de joie et vise et versa. De plus une chanson pour moi c'est souvent un souvenir et chaque souvenir viens avec un sentiment. Une chanson peut me rappeler Philippe et me rendre down tout d'un coup ou même une chanson peut me rappeler mes anciennes amies de Joliette (Mon ancienne ville) et me rendre joyeuse même dans un moment de dépression.

Il y a aussi les paroles qui influence mes humeurs mais dans un autre sens : Quand j'écoute les paroles et surtout quand celle-ci sont profonde il m'arrive d'entrée dans la peau de la personne qui chante cette chanson et de vraiment vivre pour le temps d'une toune l'histoire qui est racontée dans la chanson. Ceci est mon petit côté comédienne =P.

Je pense aussi, qu'en général, la musique détermine notre look. C'est rare que tu vas voir un Latino qui écoute de reggeaton habiller en EMO non? Et c'est rare que tu vas voir quelqu'un qui écoute de dead métal habiller avec un jacket de gangster. Ce qui prouve que la musique à une influence sur la perception que les autres ont de nous.

Finalement, la musique influence aussi mes amis. Je veux dire pas toujours, mais souvent la musique que tu écoutes représente un peu qui tu es. Je ne dis pas qu'il soit impossible que je sois ami avec une fille qui s'habille avec du Baby Fat mais disons que je vais pas mal plus être attirée par la fille qui porte une veste Volcom disons.

La musique ça change tellement une vie quand on y pense. Ouf moi je n'échangerais jamais mon style pour rien au monde.

mercredi 6 février 2008

Petit plaisir idiot de la vie.

Je me suis trouvée un petit plaisir idiot, mais vraiment idiot. Je suis peut-être folle ou stupide comme mon amie dit mais j'adore cette sensation. Alors je vous raconte.

L'autre jour j'étais à l'Exposure au Club Soda pour voir mes amis jouer. Durant le spectacle j'étais assise sur le bout d'un haut tabouret (Je ne touchait pas le sol). Soudain quelqu'un assis sur une chaise à fait balancer mon tabouret ce qui m'a fait pencher par en avant les pieds dans le vide mais je ne tombais pas. C'était vraiment idiot mais je me suis sentie comme si je pouvais voler. Vous savez la sensation qu'on a à La Ronde quand on essaye un manège pour la première fois, eh bien j'ai eu cette même sensation lorsque cette personne à fait basculer mon tabouret (Non, je n'avais pris aucune substance illicite).

Aujourd'hui à la recherche de cette même sensation je me suis poussée de mon dossier dans l'autobus (Vu que je suis petite je touche à peine par terre) et j'ai levé mes pieds pour qu'il ne touchent plus du tout au sol et j'ai ressentis la même sensation de vertige. J'était en extase. Après l'amour cette sensation est la meilleure que j'ai eu.

Ah les petits plaisirs anonymes de la vie. Don't juge ! Je suis sûre que vous aussi vous avez déjà vécu une situation semblabe où vous viviez un truc merveilleux que tout le monde trouve stupide. C'est ce genre de chose qui me rend heureuse maintenant.

Eh oui elle est folle cette fille. =)

mardi 5 février 2008

Je serai qui je suis.

Ce soir dans le taxi en revenant du théàtre, je me suis posée une question existancielle à mes yeux : Qui suis-je ? Où plutôt qui devrais-je être ? Devrais-je être celle que je suis ou celle que je voudrais être ? Je me suis bien rendue compte que souvent je cachais mes émotions pour être quelqu'un de meilleur, de plus intéressant et de plus agréable. J'ai décidé à partir de ce soir que cette époque était résolue. À partir de maintenant je serais qualifiée comme une personne vraie. Cela ne veut pas plus dire que je serais une meilleure personne non loin de là, mais au moins je serais qui je suis. Si je veux être triste ce soir je le serai et si je veux être stupide je le serai aussi. Vous m'aimerez ou pas dans ce nouvel aspect de moi-même, honêtement je m'en fou. C'est là peut-être que je rencontrerai mes vraies amis. Ceux qui aime la vrai Catherine que je suis. On verra bien ce que vous en penserai. Maintenant pour ma part je suis tout simplement Catherine.

lundi 4 février 2008

C'était éphèmere

Je savais que le sentiment que j'éprouvais dans mon dernier message resterais éphèmere. Car ma déprime est revenu. C'est normal que je sois jalouse ? Je l'ai toujours été mais on dirait que maintenant c'est pire. Mais tsé, je sais qu'on ne sort plus ensemble et qu'il a une vie, qu'il a le droit de faire tout ce qu'il veut, mais je suis jalouse pareille. Au moins je l'admet.

En fait ce qui m'enerve le plus c'est qu'il soit jamais venu jetter un coup d'oeil a mon blogue. Je suis sure qu'il ne veut même pas le voir. Après il va penser que c'est moi qui à l'air d'aller bien. Je trouve que c'est lui qui s'en fou pas mal. Je suis sure que lui il n'a pas le "moton" dans la gorge en ce moment et les yeux qui n'attendent que de laissez sortir leur flot de larmes.

On dirait maintenant que les larmes font partis de moi. Je ne peux pas passer une soirée sans larmes. Cette sensation m'habite maintenant, elle fait partie de moi. C'est maintenant devenu une habitude de pleurer chaque soir, c'est presque normal pour moi.

Je me hais, je hais ma vie, je hais Philippe, je hais toute ses amiEs ! Je voudrais encore être la seule. Je voudrais encore me retrouver dans son nic. Je voudrais encore esperer recevoir un email de lui le soir. Je voudrais encore que sa la blesse quand je ne veux pas lui parler. Je voudrais encore qu'il tienne à moi. Je voudrais qu'il m'aiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiime ='( !!!!

I Hate to Love You.

samedi 2 février 2008

Heureuse aujourd'hui

J'ai décidé qu'aujourd'hui j'allais être heureuse. S'il lui il l'ai pourquoi pas moi ? Je n'ai aucune raison de me soucier de lui. On sort plus ensemble, non ? Est-ce que je l'ai oublié ? Loin de ça, mais j'ai décidé que je m'accordais un répit aujourd'hui.

En fait je ne fais qu'oublier la réalité en m'enivrant de musique qui remonte le moral. De la musique quétaine avec un petit beat techno ou de la musique punk/rock avec du monde qui crie à tue-tête, vous trouvez pas que ça remonte le moral ? Moi oui en tout cas. J'ai décidé que je serais heureuse aujourd'hui et je vais l'être.

Sûrement que lorsque je me retrouverai ce soir, seule avec mon ordi je redeviendrai une triste partie de moi-même, une épave sans but comme je l'ai été ces derniers jours, ce dernier mois en fait, mais là, maintenant, pour l'instant je suis heureuse. Je sens l'ancienne Catherine revivre. Celle qui s'amuse à prendre des photo avec sa cam (comme vous pouvez admirer en-bas de l'article) tout seule dans sa chambre avec de la bonne musique. Honnêtement je n'ai aucune idée de ce qui m'a remonté le moral, ce qui m'a redonné de goût de vivre mais tout ce que je sais c'est qu'aujourd'hui j'ai le goût de la vie à nouveau.

Enfin le mois de Janvier est terminé ! Je le haïe ce mois, il n'y a rien de bien qui arrive au mois de Janvier. Maintenant que le mois de Février est commencé, je vais pouvoir revivre. Phil je ne l'oublie pas, je vais devenir sa MEILLEURE amie. D'habitude on prend ses résolutions au mois de Janvier pour la nouvelle année mais vue que le mois de Janvier est un mois pourri je les prends au mois de Février. Je me "résolutionne" d'être heureuse à partir de maintenant. Top Chrono !

C'était le retour de la petite (Minuscule) Cath joyeuse de la vie comme le jour de ses 15 ans.

samedi 26 janvier 2008

Comment oublier ?

Comment oublier dites-le moi ? Je n'en peux plus de toujours penser à lui, j'en ai juste marre ! Tous mes souvenirs bons ou mauvais m'arrachent une larme, tout ce qu'il peut me dire aussi.

L'amour est l'opposé de la haine et pourtant c'est toujours à cette dernière qu'il conduit. J'aimerais vivre une vie sans amour ni haine. Avant de rencontrer mon amour, c'était cette vie là que j'avais. Bien sûr, j'avais déjà aimé avant mais je n'avais jamais eu de retour alors j'avais une vie sans amour et sans haine et surtout sans peine. C'était Beaucoup mieux comme ça. Je croyais connaître l'amour dans ce temps là mais si j'avais lu le message que je suis en train d'écrire j'aurais cru comprendre cette auteure malheureuse mais ça m'aurait laissé indifférente car je ne connaissais pas la peine qu'une rupture peut causer. L'amour abouti toujours à la souffrance avant je croyais savoir maintenant j'en ai l'expérience.

Je ne crois pas non plus que c'est mieux de ne pas connaître l'amour car être en amour est le moment le plus merveilleux d'une vie. Lorsqu'on l'a cet amour, même si au fond de nous on sait que ça va nous mener à la souffrance et à la haine, il vaut mieux chasser ça de son esprit et croire que c'est pour toujours.

Mais sincèrement plus tu y crois plus ça fait mal... Et j'ai terriblement mal en ce moment. Je souffre mais j'espère que ça va passer. Mais comment ? J'ai l'impression que cette peine durera toute ma vie. C'était le seul et je l'ai perdu. Comment oublier que j'ai passé 7 mois de ma vie heureuse à un tel point que j'aurais fait n'importe quoi pour le garder. Je crois que je devrais aller aux DAA (Dépendants affectifs anonymes) car j'ai tous les symptôme. J'aimerais tellement qu'il me revienne.

Le pire dans tout ça, c'est que c'est moi qui aie cassé, trois fois même. Pourtant c'est moi qui est en manque d'amour et c'est lui qui vit comme si je n'avais jamais existée. La question qui brûle les lèvres est pourquoi j'ai cassé ? Bien parce que je l'aimais trop et que j'aurais voulu qu'il m'aime autant que je l'aimais.

Les deux premières fois il m'est revenu et il m'a aimée comme je le voulais, mais tout ça ça ne dure jamais vraiment longtemps. On fini par revenir au même point, au même point de malheur toujours et toujours.

La troisième fois ça n'a pas été pareille car cette fois-là un autre facteur c'est ajouté, c'était la jalousie. Il aimait une autre fille, une fille de Baie-Comeau, une fille de son camp de vacances. Et en plus de l'avoir aimé cet été et de me l'avoir avoué, il lui laisse des messages d'amour sur son sky. Voilà les causes de mon malheur. J'ai cassé mais cette fois-là il ne m'est pas revenu, cette fois-là il a décidé que pour lui l'amour entre nous c'était terminé.

Bien sûr je compte encore pour lui et blablabla mais en ami et ça je me suis bien rendue compte que j'étais incapable de le supporter. Peut-être plus tard, dans plusieurs mois on redeviendra amis comme avant mais maintenant j'aime mieux l'haïr plutôt que de souffrir lorsqu'il me parle de quelqu'un d'autre ou qu'il se fout de moi. Je n'en peux plus d'avoir cette boule dans la gorge à chaque fois qu'il me répond : Ah okay. Après un long message ou de me mettre à trembler comme une feuille lorsqu'il me dit: Fais ce que tu veux Cath, je m'en fou. La seule chose que je voudrais c'est justement qu'il s'en foute pas. Mais il s'en fout.

Je commence à me demander si c'est vraiment possible de pouvoir aimer.

mercredi 23 janvier 2008

Est-ce que l'amour est considéré comme une drogue ?

Ma question du jour: Est-ce que l'amour est considéré comme une drogue ? Si oui je crois y être accro et en plus je suis en manque ! Je veux de l'amour et ça me tue de l'avouer. Je n'ai jamais compris tout ces gens qui cherchaient désespérément l'amour, je me disais si l'amour existe il me tombera dessus, rien ne sert de chercher. Mais cela était avant, avant que je goûte à ce cadeau empoisonné. Maintenant à chaque instant de ma vie, j'ai besoin d'être aimée, j'ai besoin de sentir quelqu'un près de moi, quelqu'un qui ressens le même besoin que moi. Ca me fait tellement chier. Pourquoi ma vie ce retrouve sans amour tout d'un coup ? =(

dimanche 20 janvier 2008

Accro à msn ?

Vous croyez être accro à cette malédiction, ce poison qui nous pourri la vie, nous jeunes corrompus par ce nouveau satan que l'on nomme msn ? Pour savoir si vous êtes un adepte de ce culte qui est le majeur facteur rendant nos jeunes cerveaux mous et qui a pour effet de nous donner la réputation d'un peuple de surconsomation illetré eh bien lisez cette article pour confirmer toutes vos pires craintes et entré tout comme moi dans les addictes de msn.

- Si lorsque vous rencontrez une personne qui vous intéresse vous lui donnez votre msn au lieu de votre numéro de téléphone ; Vous êtes accro

- Si peu importe où vous soyez et ce que vous faites vos contacts peuvent vous toujours vous voir en ligne et savoir ce que vous faites; Vous êtes accro.

- Si vous écrivez vos moindres fait et gestes dans votre nic; Vous êtes accro.

- Si on peut vous connaitre mieu que quiconque en passant la journée à lire votre nic tellement il change en une journée; Vous êtes accro.

-Si vous faites passé à tout bout de champs des messages subtiles à vos amis par le billet de votre nic; Vous êtes accro.

- Si vous connaissez les raccourci de chaqu'un des smileys de msn par coeur; Vous êtes accro.

- Si vous êtes tellement habituer d'écrire en sms que lors d'une dictée vous vous demandez si en tout cas s'écrit entk ou en toukah; Vous êtes accro.

- Si vous restez toute la journée devant votre msn en espérent voir quelqu'un ce connectée sans pouvoir décollé de votre chaise; Vous êtes acccro.

- Si à chaque fois que vous passez devant votre ordinateur il vous est impossible de résisté à l'envi de vos connecté même si vous savez pertinament que vous ne pouvez rester que deux secondes; Vous êtes accro.

- Si vous passé sur le bord de vous suicider quand une connection internet est impossible; Vous êtes accro.

- Si votre vie deviens soudainement sans but quand il y a personne online; Vous êtes accro.

- Si vous concidéré la petit touroudou de msn comme une douce mélodie; Vous êtes accro.

- Si votre reveil matin est ce fameux touroudou car il ne sert à rien de vous levez si personne ne vous parles; Vous êtes accro.

- Si votre plus grande joie de vie est quand quelqu'un vous répond non à la question ca va parce que cela va créé une conversation; Vous êtes accro.

- Si vous avez au moins 150 contacts dont le 3/4 est des gens que vous n'adresser jamais la parole mais que vous garder "au cas où"; Vous êtes accro.

- S'il vous ai totalement impossible de supporté la vue d'une fenetre orange qui clignote plus que 2 secondes; Vous êtes accro.

- Si vous vous sentez mal quand quelqu'un vous as parler durant votre absence et que vous ne pouviez pas lui répondre; Vous êtes accro.

- Si vous vous êtes arrêtez de lire ce test au moins 10 fois parce que quelqu'un vous envoyait un sms; Vous êtes accro.

Eh bien toi, oui toi qui as répondu oui à tout ces questions, tu n'es pas seul. Rejoinds le cercle des addictes =) Nous sommes tes amis.

La vérité

Quelle drôle de mot que la vérité.... C'est bien étrange en effet car la vérité est un mot d'ignorant. Tout le monde ignore si leur interprétation de la vérité est vraiment vraie. Tout n'est que supposition, j'imagine.

Voilà pourquoi je dis cela. C'est si simple mais si peu de personne y pense. La question, la vraie question c'est de là que part toute mes questions, nos questions. La question est la suivante : D'où venons-nous ? De cette question, sans réponse, tout devient incertain. Si nous ne savons pas qui nous sommes alors comment pouvons nous savoir la réponse à quelque chose que nous avons inventé.

Si je me demande de quelle couleur est mon chandail, c'est sûr que tout le monde me répondera rose, parce qu'effectivement on dit qu'il est rose. Mais comment pouvons nous savoir qu'il est vraiment rose ? Peut-être est-ce juste nous qui voyons la couleur que nous voyons, peut-être que chaque être voit le rose d'une différente couleur et peut-être même que le rose n'est qu'une invention de notre créateur. De tout ces faits le rose devient quelque chose de bien abstrait tout d'un coup.

Cela va de même pour toutes les autres questions inutiles et surtout évidentes à nos yeux. Si nous savons pas qui nous a créé alors comment pouvons nous affirmer que tout ce que nous savons est vrai. Nous vivons dans un monde de profondes illusion.

Et si nous trouvions ce créateur lui non plus ne pourrait pas nous donner de réponse car celui qui l'aurait créé lui serait encore plus intelligent que ce créateur. Ceci est un cercle infini. Rien ne nait du néant c'est impossible. Toutes sortes de théories existent mais tout cela est presque de la science-fiction car rien ne nous prouves que ce que l'on croit est vrai.

Il y a-t-il une fin a toutes mes questions ? C'est sûr car tout début à une fin et rien n'est éternelle. Comment savoir alors ? Surement que je ne le saurai jamais.

dimanche 6 janvier 2008

Rien n'arrive pour rien

La vie est rempli de si et chaque si aurait changer notre vie s'ils avaient été appliqués au lieu de la réalité. Si je n'étais pas né la vie de mes parents serait totalement changée et par concéquant ma mère n'aurait jamais été ce qu'elle est ni celle de tout mon entourage qui me cotoient. Souvent le simple fait de traversé la rue peu changer une vie en soit. Le fait ce que j'écris en se moment à la place de faire mes devoirs peut avoir un impact décisif dans ma vie.

Comme dit le Josten Gaarden : "La vie est une grande loterie dont seul les numéros gagnant sont visibles". Qu'es-ce qu'il veut dire par la c'est qu'avant même que l'on naisse nous aurions put mourir dans milliards de fois. Car chaque moindre fait et geste que le tout premier de nos ancêtres à mis en jeu notre vie. Depuis le début des temps il y a eu des milions de guerres, des miliers d'obstacle au quelle chaqu'un de nos ancêtre on survécu car sinon nous ne serions pas ici. La vie est une grande loterie car puisque je les dit plus haut chaque faits et gestes est décisifs.

Regardez autour de vous et appréciez chaque moment car celui-ci est impossible à reproduire et surtout il pourrait bien être votre dernier.