lundi 31 mars 2008

Ma première journée d'école.

C'était ma toute première journée à l'école FACE. On dirait que l'odeur de l'école à changé depuis. La première journée quand tu ne la connais pas elle sent une odeur inconnue mais elle sent quelque chose. Peut-être que ça sentait mes battements de cœur qui avaient augmenté de 100 fois leur vitesse normale, peut-être que ça sentait tout ces nouveaux visages qui allait me devenir familier ou peut-être que ça sentait tout simplement l'inconnu. Le futur, j'allais passer les 5 prochaines années de ma vie plus ou moins avec tout ces visages, tout ces gens qui me semblaient n'avoir aucun point commun avec moi.

J'avais peur. Peur de ne pas tomber dans la classe de mon demi-frère qui connaissait déjà l'école. Peur aussi de ne me faire aucun nouvel ami dans cette nouvelle école. Aurais-je le cran d'aller voir quelqu'un et de lui dire : Hey veux-tu être mon amie? Je savais bien que ça ne marchait pas comme ça maintenant. Il y avait tant de nouveaux, qu'on me disait. On aurait pu faire une classe de nouveaux on était environ 30. Dire qu'à la rencontre d'inscription le directeur nous avait affirmé qu'il n'y avait qu'une place pour le secondaire 1.

Bref les secondaires 1 devaient tous se rendre à la cafétéria, je suivit mon demi-frère, Pawel, qui savait où il allait. Rendue à la café, on s'est assit sagement à une table en attendant l'arrivée des profs. Au tour de moi, des gens se revoyaient, se racontaient leur été, ils n'étaient pas aussi nerveux que moi, ils connaissaient tout le monde. Je jetai un bref regard sur la salle, il m'était facile de repérer les nouveaux, ils avaient la même expression que moi sur leur visage disant : Mais qu'est-ce que je fais ici ? J'en repérai une en particulier, elle était adossée sur le mur du fond et regardait avec un air gêné les gens tous excités de se revoir. Plus tard, j'appris que cette fille s'appelait Émilie Hamel et qu'elle était plutôt sympathique. À ma table vint s'assirent deux personnes. La première s'appelait Eve-Marie, elle était nouvelle et elle connaissait l'amie à ma demie-sœur (La soeur de Pawel, Tania), comme nous nous étions saluées elle vint s'asseoir avec nous. La deuxième s'appelait Bewolf, elle avait un accent anglais et nous raconta son histoire; elle arrivait du côté anglais ou je ne sais pas trop (Je crois que j'étais trop nerveuse pour comprendre quoi que ce soit), bref elle aussi ne savait pas où s'assoir et s'assit à notre table.

Puis, l'heure avait sonnée, tout le monde s'est tue, les profs avaient réclamés le silence et allaient nous annoncer qui était dans quelle classe. Mon coeur battait si fort que je suis sûre que Pawel arrivait à l'entendre. "Oh mon Dieu faites que je sois dans la classe de Pawel !" c'est ce que je me répétait silencieusement. Puis on nomma mon nom. Je me levai et attendi, il n'était pas trop tard pour que Pawel soit nommé, la liste n'était pas achevée. Rendu à Ziffrin, j'ai du me faire une raison, me voilà seule dans la classe de 7f2...

dimanche 30 mars 2008

Une amitié qui vient de loin


Le 1er Juillet 2005. Cela faisait maintenant trois ans que je vivais à Joliette. J'y avait rencontré des amis super; Vicky, Pier-Luc, Émilie, Stéphanie, Gabrielle, Manue, Roxanne, Marion, Mélissa et bien d'autres. J'avais vécu de tels moments avec tous ces gens que dans ma tête, il était impensable que je m'éloigne d'eux. Joliette-Montréal ce n'était pas si loin, et il y avait toujours le téléphone et le chatte. Mais malgré ces promesses qu'on s'était faites et ces amitié qui me semblaient indestructibles, nous nous sommes éloignés, pratiquement oubliés.

Aujourd'hui en 2008, il ne me reste plus qu'un seul contact Joliettain, c'est Vicky. Pourquoi est-ce elle qui a survécu à la distance et au manque de communication ? Je n'en sais rien, c'est peut-être parce qu'au fond (tout au fond de moi) je savais bien que c'était elle qui comptait le plus dans mon cœur (Pas que les autres comptaient pas).

Vicky comptait le plus parce qu'elle était tellement différente de moi et je dois avouer que j'étais fière de l'avoir comme amie. Pour être totalement honnête, je l'enviais. Elle était belle, gentille, populaire et avait beaucoup de facilité à ce faire des amis car tous l'étaient. Bref, je ne sais pas pourquoi Vicky est devenue amie avec moi mais j'étais bien contente de l'être.
On s'est rencontrée au poteau de ballon-coup-de-poing, enfin une adversaire à ma mesure. Je crois que c'est là que notre amitié a débuté mais j'en ai perdu de grand bout par la suite (Je dois dire que cette histoire date d'il y a quatre ans. Parfois j'ai quelques flashs comme là, si je creuse je me rappelle la première fois que je suis allée chez elle, on avait dansé sur un remix de Britney Spears, c'était marrant. Même si je ne me souviens pas de tout, je sais que j'ai adoré chaques moments que je passais avec elle. Je ne me souviens pas que nous ayons eu aucune chicane.

Puis le premier juillet est arrivée, j'ai déménagé à Montréal, ma ville natale. J'ai dit au revoir à Vicky, c'était sa première journée avec ses broches et elle parlait en zozotant. L'adieu fut bref, les boites étaient déjà "packtées" et on m'attendait pour partir. Je repris mon vélo noir et mauve et passa pour la dernière fois sur la rue Précieux-Sang gardant en tête la promesse de garder contact.

Les mois et les années passèrent et comme tous les autres Vicky était devenue, un vague souvenir de mon passé Joliettain. Je m'étais fait de nouveaux amis et c'était pareil pour elle. On s'est éloignée sans jamais complètement ce perdre de vu, je n'avais pas oublié notre promesse. Un beau jour, il n'y a pas très longtemps, mais je ne saurais dire quand, on a reprit vraiment contact. Je ne voulais pas la perdre et j'allais tout faire pour pouvoir la garder. J'ai décidé de lui proposer d'aller passer quelque jour chez elle durant l'été.

C'était de belles retrouvailles. Mon amie m'avait manquée. Nous avions toutes les deux changées mais dans de le même sens. J'avais beaucoup plus de confiance en moi qu'avant et elle aussi avait l'air beaucoup plus confiante. On a beaucoup parlé. Elle me raconta ces anecdotes d'été et je lui racontai mon histoire d'amour avec Philippe. Une chose qui m'avait manquer de Vick-Vick s'était le fait que je pouvais vraiment être moi-même, sans me sentir jugée et en sentant qu'elle pensait la même chose de son côté. Elle était franche et honnête avec moi, comme si on avaient toujours été amies, comme si la distance n'avait rien changée, comme si on se parlaient encore tous les jours. En plus de tout ça, elle me comprenait et me réconfortait dans mon extrême peur que Philippe est rencontré une autre fille à son camp. Bref, c'est pour ça que j'ai aimé mes deux dodos chez elle.

Je crois que depuis ça on a reprit vraiment contact. Je veux dire c'est vrai on ne se voit pas tout les jours, on ne se parle même pas au téléphone mais je crois savoir où elle en est dans sa vie et je crois qu'elle sait où j'en suis dans la mienne. Je serai toujours-là pour l'écouter et la comprendre et je crois que c'est réciproque. C'est l'important, non?

Une vraie amie, c'est sacrée et j'espère pouvoir la garder encore un bon bout de temps.

Je t'aime sincèrement Vick-Vick =)

mercredi 26 mars 2008

La curiosité

Quand j'ai le coeur fragile je sais ce que je dois faire ou plutôt ce que je ne dois pas faire. Pourtant, je le fais quand même. Comme si j'étais obligée de m'infliger cette douleur uniquement pour satisfaire cette envie presque maladive qu'est ma curiosité.

Je veux toujours tout savoir. Non c'est faux pas tout, mais tout ce que je ne peux pas savoir. Si ça ne me touche pas vraiment j'avoue que je m'en fou un peu mais dès qu'il y a quelque chose qui se passe je veux le savoir. Je veux connaître les "insides" même si quand on me les racontes je ne les trouves pas drôles. À chaque fois que j'entends que quelqu'un ne va pas bien je veux toujours savoir ce qu'il a. Un potin ? Je veux absolument être au courant.

Dès que je le sais, je suis satisfaite mais je ne peux pas dire que j'ai une joie IMMENSE. Par contre, si on refuse de répondre à ma question, c'est là que je deviens folle. Autant je suis incapable de dire non autant je désespère qu'on me le dise (Seulement dans le cas précis d'une question, si c'était non pour un service ça ne me dérangerait pas trop ou beaucoup moins). Si on ne veut pas satisfaire ma curiosité un question aussi insipide qu'inutile comme "Comment vas-tu aujourd'hui ?" devient quelque chose d'une importance capitale. J'irais jusqu'à fouiller les e-mails de la personne pour savoir ce qu'il ce passe.

Je crois que ce n'est pas normal... Devrais-je consulter un psy ?

dimanche 23 mars 2008

Des confidances finalement avouées

J'ai l'impression qu'un poids c'est enlever de mon cœur. J'ai fait la paix avec Caro. Cette fille du camp à Philippe. Cette fille que je détestait de tout mon cœur. Cette fille sur qui j'avais fait porter tout le poids de mon chagrin ces derniers mois. J'ai réussit à comprendre que ce n'était pas elle qui avait tout gâché entre moi et Philippe, c'était nous. Caro n'avait été que la goutte d'eau qui fit déborder le vase. C'est en lui disant tout ce que je viens d'écrire que je me le suis fait comprendre à moi-même.

Je me sens un peu plus libre, un peu plus heureuse, je crois que j'ai finit par accepter ce que je vis. Bien sûre, je ne suis pas totalement guéris et peut-être ne le serais-je jamais, peut-être l'aimerais-je toujours un peu. Toujours est-il que l'acceptation est la dernière étape d'un deuil et je crois l'avoir fait.

Philippe. Oh mon beau Philippe, tu m'auras fait vivre tellement de première fois, tellement de moment merveilleux. Je n'aurai jamais été aussi proche de quelqu'un que de toi. Peut-être est-ce maintenant le temps que nous passions à d'autre chose. Je t'aime et je t'aimerai toujours, je tiens mes promesses. Un jour, dans dix ans (ou moins qui sait) on se retrouvera peut-être. Inquiète-toi pas je serais toujours une "Drama Queen", TA D.Q. Je te souhaite de trouver l'amour et elle sera bien chanceuse de t'avoir. Tu es un gars super. Je ne t'oublierai jamais et je souhaite que tu fasses de même.

Pour ma part je vais aller de l'avant et je n'ai aucune idée de ce qui m'attend.

samedi 22 mars 2008

Rien à perdre

Je n'ai plus rien à perdre. Est-ce que ça veut dire que je n'ai rien ? Non. J'ai des amis et une famille mais j'ai l'impression que je pourrais faire n'importe quoi. Ce que j'ai, je ne le perdrais pas, ce que j'ai perdu, je n'ai rien à perdre à le retrouver et ce que je n'ai pas, eh bien je ne l'ai pas encore.

La gêne, c'est l'obstacle. La peur du ridicule, cette idée qui nous vient qu'on pourrait avoir encore pire que maintenant. Mais bon pour chaque chose de bien, il y a un obstacle à franchir non ? Je veux dire je ne peux pas avoir de la crème glacée à la pistache si je n'ai pas d'argent (Oui, Oui, j'ai écrit "de la crème glacée à la pistache" plutôt qu'un "cornet de crème glacée à la pistache". Nuance ici essentiel car je n'aime pas les cornets, ça goûte le carton... vieux souvenir d'enfance où j'ai manger un cornet de crème glacée dans un vieux cornet qui traînait dans l'armoire depuis tellement longtemps qu'il goûtait la même chose que la boîte. Vous avez aussi remarqué que j'ai bien écrit "pistache" et non un autre exemple plus commun comme chocolat par exemple. Je ne veux pas dire que je n'aime pas le chocolat (Non Chocolat, je t'aime, ne t'inquiète pas c'est juste que tu es trop commun pour moi) mais je préfère la pistache (Désolé chocolat). Revenons à nos moutons...). Et l'argent que je vais avoir acquis pour ma glace et bien je vais avoir travaillé dure pour l'avoir (Comme en suppliant un de mes parents à genoux.). Dans cette exemple (oh combien trop long j'en convient), mon obstacle à franchir était l'argent dans le cas de ma vie en général pour pouvoir acquérir ce que je veux, eh bien, c'est la gêne mes amis.

En général, je ne me considère pas vraiment comme une personne relativement gênée mais comme tout le monde, il m'arrive de la vivre. Surtout avec des personnes que je ne connaît pas mais que je croise souvent. Je veux dire je ne suis pas gênée avec les gens du métro que je ne reverrai probablement jamais mais disons que je ne suis pas la première à aborder la conversation avec quelqu'un que je trouve sympathique. J'ai peur du non. Même si au fond de moi je me dis que ça change pas grand chose. Et que ce n'ai pas parce qu'elle ne t'aime pas mais parce qu'elle ne peut pas, mais pour moi ça, sa ne marche pas.

Mais bon maintenant je sens que c'est différent. J'ai moins peur de perdre la face ne me demander pas pourquoi. Je ne le sais pas. Mais c'est comme ça et j'espère que ça va continuer comme ça. =)

dimanche 16 mars 2008

Moi, Je t'aimerai

J'ai trouvé les mots
pour te dire que je t'aime cachés au creux de tes reins
Qu'importe maintenant
si oui,
si non
si tu m'aimes,car
Moi je sourirai quand même

Qu'importe la fréquence
De ces gestes maudits
De ces coups de langues éprits
Qu'importe l'arrogance
De cet amour chéri
J'irai peut-être au paradis

J'ai trouvé les mots
Pour te dire que je t'aime
Cachés au creux de tes reins
Qu'importe pour moi
Si oui,
Si non,
Si tu m'aimes, car
Moi je sourirai quand même
Moi je sourirai quand même
Moi je sourirai quand même

J'ai trouvé les mots
Pour te dire que je t'aime
Cachés au creux de tes reins
J'ai tout aspiré tout
Jusqu'à en perdre haleine
Peut-être les dirai-je demain
Peut-être sous l'effet
D'une trop grande arrogance
D'un coeur un peu trop sûr de lui
Je dirai ces mots
Au creux de ton oreille
Même si je risque la potence

J'ai trouvé les mots
Pour te dire que je t'aime Cachés au creux de tes reins Qu'importe pour moi
Si oui
Si non,
Si tu m'aimes car
Moi je t'aimerai quand même

Penser au respir de ce que l'on retient
De peur de devancer la fin
Je ne veux plus les retenir Ces mots
Qui ne demandent qu'à sortir
Je veux coller
Mon amour contre le tien

J'ai trouvé les mots pour te dire que je t'aime
Cachés au creux de tes reins
Qu'importe pour moi
Si oui,
Si non,
Si tu m'aimes car
Moi je t'aimerai quand même
Moi je t'aimerai quand même
Moi je t'aimerai quand même

Pierre Lapointe - Moi Je t'aimerai

mardi 11 mars 2008

L'Amitié

Il fallait, il fallait vraiment que j'écrive un article sur l'amitié parce que dans ma vie je crois que c'est la chose la plus importante que j'ai (En même temps que la famille évidemment).

Ce soir j'avais besoin d'une amie, juste de lui parler pour me changer les idées (Parce que vous vous en doutez sûrement Philippe avait encore fait des ravages dans mon cœur) et je l'ai appelée. On ne s'est rien dit de spéciale mais juste de parler à une amie ça m'a réconfortée.

Être une amie c'est tellement rien de spécial mais c'est tellement essentiel d'en avoir une. Pour être une amie tu n'as qu'à écouter et parler. Être là quand il le faut et savoir montrer à l'autre que tu tiens à elle. Rien de plus. Et je suis tellement contente d'avoir des amis. Même s'il y en a que je bitch (et qui me bitch sûrement aussi), même s'il y en a qui me déçoivent et même s'il y en a que je n'aime pas trop, trop elles sont toutes indispensables. J'ai besoin de chacune d'elles et j'essaye d'être toujours-là pour elles.

C'est tout l'amitié ce n'ai que ça en fait, un besoin égoïste et humain d'avoir quelqu'un sur qui compter. Et merci, merci d'être là pour moi.

Gabbe, Mély, Florence, Élyse, Choco, Bibo, Marie, Flot, MagGie, Hamya, Charlotte, Dd.

(J'ai choisi la couleur qui je trouve vous va le mieux =P)
Je vous aime vous avez pas idée à quel point.

dimanche 9 mars 2008

Les mots

On dirait que j'en ai jamais assez, des mots. Écrire une phrase toute simple et en faire un article, j'en suis incapable. Il y a toujours un mot qui peut continuer, préciser ma penser, mon idée. Comme cette article j'aurais pu écrire tout simplement la première phrases. C'est elle la plus importante, c'est elle qui exprime tout le sens de cet article. Mais non, il faut que je précise.

Il y a toujours un mot, qui manque dans ce que je veux dire. Pourtant j'aime les articles simple, d'une seule phrase qui veut tout dire. Des fois même ça m'ennuie de lire un article trop long. Je décroche avant la fin. Mais j'aime, j'aime écrire le font de ma penser, l'épuiser jusqu'au dernier mot qui va dans ce sens. Je peux écrire des paragraphes des romans à propos du même sujet, en autant qu'il m'intéresse.

Les mots c'est tout. On est d'accord que les idées sont essentielles à la vie humaine. C'est ce qui nous caractérise des animaux. Sans les idées rien ne serait. Eh bien ces idées elles s'expriment au commencement en pensée et des pensées sont des mots de notre esprits. Déjà sans mots ils nous seraient impossible de formuler nos idées mais ce n'ai pas tout. Maintenant si on imagine qu'on aille pu penser sans mots, pour pouvoir créer cette idées il faut la communiquer et sans les mots il devient beaucoup plus difficile de communiquer. Bien sûr il y a les gestes mais les gestes sont restreint tandis que la parole est infini. Tout peut être dit en mot. Et les mots on les comprends c'est bien plus clair que des gestes.

Tout cela pour dire que les mots nous caractérises, nous humain, il ne faut pas en avoir peur. Exprimez-vous, c'est la plus belles choses que vous pouvez faire.

samedi 8 mars 2008

Vivre ou rêver

Finalement ma vie se sépare en deux partie : la partie où je vis et la partie où je rêve.
Quand je ne vis pas je rêve et quand je ne rêve pas je vis.
Quand je rêve j'aimerais vivre et quand je vis j'aimerais rêver.
Vivre est unique et rêver est magique.
Impossible de vivre le rêve mais Inévitable de rêver sa vie.
Dans mes rêves je vis dans ma vie je rêve.
Finalement ma vie n'est qu'un : C'est le rêve d'une vie réelle.

Vivre avec ma vie.

Fini les lamentations. Ma vie n'est peut-être pas celle que je voudrais mais j'apprends à vivre avec. Je me dis que je suis beaucoup moins misérable qu'une grande majorité de monde. Tout le monde à ces problèmes et je ne les ignores pas mais maintenant je me dis qu'il est temps de passé à d'autre chose. Je ne suis pas que tristesse et chagrin. Je veux qu'on me voit comme quelqu'un de joyeux, d'attentif, de drôle, de bizarre, de sociable et comme une personne heureuse. Dans le fond c'est vrai ce que mon ami disait, Son nic s'était : Souriez même quand vous êtes triste, les gens sont bien plus beaux souriants. Ils sont non seulement plus beau mais ils sont plus heureux. Aujourd'hui même s'il neige et que je n'ai pas de chum, je suis souriante.




Vivre au présent

Le présent. Vivre au présent. Ça me semble tellement irréel. Comment vivre sans penser (parce que penser mène toujours aux souvenirs ou au fantaisie du futur) et juste voir ce qu'on est en train de faire maintenant. Non c'est vrai dans la vie il faut penser. C'est vrai impossible de vivre sans penser, le cerveau est toujours en fonction et il sert à ça le cerveau (entre autre): penser.

Ma grand-mère aujourd'hui m'a parler de la méditation. "Pour me concentrer sur le présent, ça prend des années de pratiques." m'a-t-elle dit. Mais de toute façon ne pas penser, pour moi c'est tellement difficile. Je fais parti d'une majorité de gens qui veuillent toujours plus. Qui vive au passé et au futur mais jamais (ou rarement) au présent. Pourtant j'aimerais mais comment, je n'ai pas le temps et je n'ai pas le goût de le prendre pour respiré. J'ai tellement de misère à médité et à oublier tout ce qu'il ce passe. Ma tête est en constant travail, normal que j'ai de la misère à m'endormir, je pense tout le temps. Je fais des plans ou je revis ma journée d'aujourd'hui. J'ai surtout hâte de me réveiller le lendemain pour continuer à vivre.

Je n'ai peut-être pas la métode pour vivre au présent mais es-ce si grave, si je suis heureuse comme ça.

Tanné ? Moi aussi !

Bon fini les articles sur Philippe. Je suis tannée, vous devez être tanné et tout le monde est tanné. C'est pathétique et j'ai d'autre chose dans ma vie que lui et l'amour.

Alors maintenant voici l'arrivée, après deux mois d'hibernation, de notre Catherine à l'imagination pleine de fantaisie et aux questions qui resterons sûrement toujours sans réponse.

Je me présente : Catherine la philosophe, ésotérique, mystique et surtout heureuse.

Alors voilà bonne suite.

mercredi 5 mars 2008

Être heureuse

J'aimerais, je pourrais, je devrais mais on dirait que ça m'est impossible. Pourquoi? Pourquoi je ne suis pas heureuse ? J'aimerais tellement pourtant et j'en suis incapable. La vie est tellement mieu lorsqu'on est heureux non? Bien que je le saches, j'ai quand même envi de pleurer. C'est sûr je le sais que je m'amuse bien plus lorsque je souris, j'essaye mais je suis pas capable. Je voudrais tellement avoir un vrai rire en se moment. Parce que, vous savez, je ne suis pas toujours triste. Je suis beaucoup moins triste que dans certains autre de mes articles mais juste en ce moment à 18h12 le 5 mars 2008, je suis triste.

En fait je sais pourquoi. Je sais pourquoi je suis triste. Mais je ne devrais pas. Devrais-je ? Il y a des fois où je me demandes si je suis trop dramatique et quand je ne le suis pas dutout je me demandes si je suis trop inconciente. Comment avoir un juste milieu ? Bof de tout façon le juste milieu c'est vraiment quelque chose dont je suis incapable. Je suis la fille la plus dramatique que je connaisse. Je m'énerve moi-même... C'est rendu grave quand tu t'énerves toi-même non?

Bref, si je ne m'aime pas pourquoi m'aime-t-on? J'aimerais qu'on me le dise. J'aimerais qu'il me rassure comme j'ai toujours voulu. Peut-être un jour, je redeviendrai heureuse. Aaaaaaaaaaaaah pourquoi je depends de lui pour être heureuse ? L'oublier, l'oublier c'est ça qu'il faut. Mais merde je veux l'oublier et je veux toujours lui parler. Parce que je l'aime encore et qu'il me fait croire qu'il y a encore une ouverture, une chance. Ça pourrait pas être clair ?

Et là, il va peut-être se frustrer en voyant cette article (s'il le voit). Ah pis je veux tellement pas. Je veux pas qu'il voit ça s'il est pour réagir de même. Je voudrais qu'il vienne me voir et qu'il me dise d'arrêter de pleurer, qu'il m'écoute, qu'il me console, qu'il me donne de l'espoir, qu'il me dise que je ne suis pas seule, qu'il me fasse croire (Juste croire) que ça va s'arranger et tout ça juste pour que je saches qu'il n'y pas que moi qui veut, qu'il y a aussi lui.

Et voilà la question ultime : Es-ce que lui il veut ?